Historien et exegete. Cela me permet de comprendre le texte en fonction de sa date de rédaction et de la pensée des auteurs.Irmeyah a écrit :Vous êtes historien ou trinitaire ? Votre démarche me semble assez ambigues et peu franche ...
C'est du grand n'importe quoi ces explications !A propos de la traduction "prosterner", merci de visiter :
http://perso.orange.fr/nw/mat211.htm
1/ Citez moi les passages cités des auteurs référencés dans leur contexte si vous possedez ces livres ( ce que je doute)
2/ L'explication par Darby est claire dans son ouvrage mais tournée dans le sens contraire de sa pensée sur votre site puisqu'il utilise rendre hommage pour adorer en Luc 4 :8
8 Et Jésus, lui répondant, dit : Il est écrit : «Tu rendras hommage au *Seigneur ton Dieu, et tu le serviras lui seul»
On est avec le même verbe "pros-koo-neh'-o"
Vous l'utilisez pour justifier votre doctrine sans tenir compte de l'ensemble de la pensée de l'auteur. C'est particulièrement malhonnête comme méthode !
3/ Un ouvrage de référence impartial et universalement reconnu par les biblistes et autres philologues est le Strong's Hebrew and Greek Dictionaries qui dit ceci :
Prenez les sources dans leur ensemble et non suivant vos lunettes de catechisme, vous y verrez plus clair.προσκυνέω
proskuneō
pros-koo-neh'-o
De πρός (pros) et surement un dérivé de κύων kuōn (signifiant embrasser, comme un chien lechant la main de son maitre); flatter quelqu'un servilement ou s'accroupir devant, qui est, (litteralement ou au sens figuré) se prosterner pour rendre hommage, vénerer, adorer. - rendre un culte
On est d'accord et vous touchez un point sensible de la rédaction de ces textes. Les trinitaires argueront que la vue de Jésus ressucité était tellement impressionante, qu'ils l'ont immediatement prosterné le reconnaissant comme Dieu.Irmeyah a écrit :Ce genre d'attitude de la part des apôtres ne fait certainement pas de Jésus un Dieu. Déjà, les apôtres étaient des juifs et des juifs n'auraient jamais adoré un homme, que Jésus était encore
L'exegete et historien que je suis y reconnait l'interpolation historique.
Il est tout de même étonnant que vous refutiez l'adoration de Jésus par des Juifs mais que vous l'acceptez pour la datation de la Septante avec la Lettre du Pseudo-Aristée http://fr.wikipedia.org/wiki/Lettre_du_ ... ist%C3%A9e
Décidement, le jusqu'auboutisme manquant de la logique chez les TJ est ce que je trouve le plus surprenant dans votre dissonance cognitive !
Nous sommes en plein dans l'hypostase, mon cher.Un Dieu est-il quelqu'un à qui on donne le pouvoir, ou quelqu'un qui possède par lui-même tout le pouvoir ?
Votre apologie ne démontre rien. Votre définition de Jéhovah est contraire à ce que pense les Juifs de YHWH.Mon Dieu à moi, qui est le Dieu d'Israel, le Père et le Dieu de Jésus, est quelqu'un qui ne tient son pouvoir de personne sinon de lui-même (c'est en général la caractéristique d'un Dieu ...).
Qu'est-ce que cet argument infantile ???? En français, on ne dirait jamais "aux noms de ..." quel que soit le nombre des compléments du nom qui viennent ensuite ... mais "au nom de" ("...la loi, de la justice, et de la police" par exemple). ça s'appelle le distributif.
Votre incultance dépasse l'entendure ! Nous sommes dans le grec koiné. Et le distributif ne le concerne pas puisque le français est de racine latine et non grecque !
Il aurait dû écrire ho onamata dans ce cas là, or tous les textes originaux nous donne seulement ho onama dans ce verset ! C'est le nom d'une seule et même personne et pas celui de 3 personnes distinctes.
Sinon suivant votre logique il aurait dû employer "ho onama ho" et non "ho onoma hoy " qui désigne bien le pluriel qui doit être compris ainsi au nom des et non au nom du mais comme en français cela serait fautif il est traduit obligatoirement en "au nom du".
Vous ne connaissez pas le grec et vous me pointez un site web pour défendre votre traduction dont le grec original n'a pas été respecté, c'est fort, très fort !
C'est votre définition jéhoviste cela, pas celle des écrivains.- le Saint Esprit est par définition un Esprit et non une personne déjà
C'est Basile de Césarée qui imposera cette vision au mépris de l'ousia de Tertullien.- Jésus est la personne du Fils, et Jéhovah est le Dieu D'Israel, que Jésus identifie à son Père : ce sont donc deux personnes différentes, même pour les trinitaires !!!
Et alors, vous me l'expliquez juste au-dessus que si ! Vous êtes inconséquent.- "Jéhovah" n'apparaît même pas dans le "texte grec original", on ne voit donc pas l'intérêt de votre affirmation ...
Mon pauvre ami. Vous pensez que je défends la Trinité. Je ne défends que le texte. Votre camp et ceux des unitariens (le saviez-vous que votre vision n'est pas partagée par les autres unitariens ? http://labesacedesunitariens.over-blog. ... 41216.html )Vos arguments sont très étrangement creux et en deçà même des arguments trinitaires. Que cherchez-vous à prouver ? On se le demande.
Défendez-vous la trinité orthodoxe ? On ne dirait pas ... Mais alors, quelle trinité défendez-vous ? La trinité monophysite?
opposé à l'autre camp des trinitaires, et autres polytheistes gnostiques (Dieu pouvait aller de 2 personnes jusqu'a 365 divinités dans les différentes mouvances chrétiennes du IIe et IIIe siècle).
Votre querelle à coups de textes qui sont renvoyés par d'autres textes prouvent qu'une chose. Vous ne comprenez rien à l'histoire des textes et à la formation de la Trinité.
Amicalement.