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mal ou bien

Posté : 03 janv. 2008 09:28
par leo
déjà, j'interviens en tant qu'amateur de croyances religieuses, je crois en la bible, et je viens pour dialoguer et en aucun cas pour critiques les TJ!

Ceci étant fait, je me pose beaucoup de questions sur Dieu. Certes je suis persuadé qu'il existe. Mais je me demande si il est vraiment "amour"? Oui admettons qu'il n'y ait qu'un Dieu e nl'occurence nous avons de la chance qu'il soit amour, il aurait pu être cruel ou encore partial ou je ne sais quoi encore...

Et puis avnt qu'il crée toute chose, qu'est ce qu'il y avait, que faisait il donc pourquoi nous a-t-il crée? Enfin, il est juste (selon ses normes) mais pourquoi tout ce qu'on aime est mauvais ( certaines pratiques sexuelles, la malbouffe, l'alcool etc)

Que pensez vous de ces interrogations

Posté : 03 janv. 2008 10:17
par Eloquence
Ce sont de bonnes questions que vous vous posez!
Voici le site de l'organisation de Jéhovah:
https://www.jw.org/fr(ils soulevent de nombreuses questions passionantes)

Voici tout d'abord un article sur la genèse:

D’après la Bible...

Que dit exactement la Genèse?

PRENANT comme base le livre biblique de la Genèse, les “créationnistes scientifiques” affirment que Dieu a créé l’univers il y a moins de 10 000 ans, et que la Terre, ainsi que les formes de vie qui s’y trouvent, ont été créées en six jours de 24 heures.

Pour leur part, les tenants de l’évolutionnisme regardent le récit de la Genèse comme un mythe. D’après eux, l’univers, y compris la Terre et tout ce qui l’habite, est le résultat d’un processus évolutif dû au hasard et ayant demandé des milliards d’années.

Cependant, il est de nombreuses personnes qu’aucune de ces deux explications ne satisfait pleinement. Certains arguments du créationnisme scientifique semblent être contraires au bon sens et à ce qu’enseigne l’observation de la nature. D’un autre côté, beaucoup ont du mal à croire que la vie dans son extraordinaire complexité puisse être uniquement le fruit d’une évolution aveugle. Mais le choix se limite-t-il à ces deux théories?

Non, il existe une troisième explication: celle que fournit la Genèse elle-même. Examinons-la.

Ce que dit la Genèse

La Genèse débute par ces mots: “Au commencement Dieu créa les cieux et la terre.” (Genèse 1:1). Est-il dit que cela s’est produit voilà quelque 10 000 ans? Non, aucune indication de temps n’est donnée. En conséquence, le “commencement” peut fort bien remonter à des milliards d’années.

Toutefois, dès le “commencement”, la Bible mentionne la présence d’un être intelligent — le Créateur — en train de diriger l’œuvre créatrice. Même si elle dérange de nombreux scientifiques, cette idée est conforme aux conclusions des astronomes. Selon eux, l’univers a bien eu un commencement, il y règne un ordre remarquable et des lois précises le gouvernent. Un système ordonné, régi par des lois, ne peut être le fruit que d’un esprit intelligent. La science nous a expliqué un certain nombre de ces lois, mais seule la Genèse nous fait connaître leur Auteur.

Le récit de la Genèse décrit ensuite les fameux six “jours” de création. Cependant, ce n’est pas durant ceux-ci que la Terre et l’univers ont été créés. Ils avaient déjà été créés “au commencement”. Ces six jours de création correspondent plutôt au laps de temps pendant lequel la Terre primitive et inhospitalière fut progressivement aménagée en un lieu habitable.

Chacun des jours de création a-t-il duré littéralement 24 heures? Ce n’est pas ce que dit la Genèse. En hébreu (langue dans laquelle fut rédigée la Genèse), le mot “jour” peut désigner de longues périodes de temps, voire des milliers d’années (voir Psaume 90:4; Genèse 2:4). C’est le cas par exemple du “septième jour”, dans lequel nous nous trouvons actuellement (Genèse 2:2, 3). Les faits indiquent donc que la durée complète des six jours représente des dizaines de milliers d’années.

“Selon leurs espèces”

Les six époques de création s’ordonnent selon la séquence suivante: eau, terre ferme, lumière, atmosphère, végétaux, poissons, oiseaux, animaux terrestres et enfin êtres humains (Genèse 1:3-27). Cet ordre correspond pour l’essentiel à celui qu’ont découvert les scientifiques.

Mais une expression intéressante revient régulièrement tout au long du premier chapitre de la Genèse. Par exemple, à propos du cinquième jour de création, Genèse 1:21 déclare: “Et Dieu se mit à créer les grands monstres marins et toute âme vivante qui se meut, dont les eaux pullulèrent selon leurs espèces.” À propos du sixième jour, on lit au verset 24: “Que la terre produise des âmes vivantes selon leurs espèces: animal domestique, et animal qui se meut, et bête sauvage de la terre selon son espèce!”

Ainsi, Dieu a créé des espèces, et non chaque variété. Notons toutefois que les différentes “espèces” ont été créées séparément et ne descendent donc pas les unes des autres. Par ailleurs, on pourrait observer une grande diversité de formes à l’intérieur d’une même “espèce”, comme c’est le cas chez les “espèces” féline, canine ou humaine. Cependant, le patrimoine génétique prévu par le Créateur maintiendrait toujours un fossé entre chacune d’elles. C’est la raison pour laquelle chiens et chats ne peuvent se croiser et donner naissance à une nouvelle forme de vie.

Voilà, certes, qui contredit la théorie de l’évolution, mais pas les faits observés. Alors qu’on rencontre de nombreuses races animales à l’intérieur de chaque “espèce”, personne n’a jamais apporté la preuve de l’apparition d’une nouvelle “espèce” ou de l’évolution d’une “espèce” en une autre.

Mais comment expliquer les similitudes de structures que l’on retrouve chez certaines espèces animales? Elles sont tout à fait logiques si l’on considère que ces différentes formes de vie ont un même Créateur, qu’elles ont été élaborées à partir des mêmes matériaux de base tirés du sol et qu’elles étaient appelées à vivre dans le même environnement.

Qui plus est, la Genèse apporte la réponse à une question qui laisse les scientifiques perplexes: Quelle est l’origine de la vie? Les scientifiques avancent bien diverses théories pour y répondre, mais aucune n’est vraiment convaincante. De plus, la seule chose qu’ils ont pu vérifier à maintes reprises dans leurs laboratoires, c’est que la vie vient forcément de la vie et se perpétue selon son “espèce”.

La Genèse nous apprend également que la vie est antérieure à la formation de l’univers et que toutes les autres formes de vie, dans le ciel et sur la terre, doivent leur existence à la Source de la vie, le Créateur Tout-Puissant, qui s’est fait connaître sous le nom Jéhovah. La science est incapable de fournir une explication qui s’harmonise aussi bien avec les faits scientifiques observés. — Psaumes 36:9; 83:18; Ésaïe 42:8; Révélation 4:11.

L’origine de l’homme

Selon la Genèse, l’homme constitua l’achèvement de la création terrestre: “Alors Jéhovah Dieu forma l’homme de la poussière du sol et souffla dans ses narines le souffle de vie, et l’homme devint une âme vivante.” (Genèse 2:7). Les scientifiques considèrent, eux aussi, que l’homme est apparu après les autres formes de vie.

Toutefois, le texte ci-dessus contredit une croyance à laquelle souscrivent la plupart des créationnistes scientifiques, et selon laquelle l’homme aurait une âme immortelle indépendante qui, à la mort, se séparerait du corps. Pourtant, il ressort de la Genèse, ainsi que de nombreux autres textes des Écritures, que l’homme ne possède pas en lui une âme immatérielle. En réalité, il est une âme. À sa mort, l’homme retourne au néant, attendant la résurrection (Ecclésiaste 9:5, 10; Jean 5:28, 29; Actes 24:15; Révélation 20:12, 13). La Bible compare la mort à un sommeil d’où l’on peut être tiré au moyen de la résurrection. — Jean 11:11, 43, 44.

La description présentée en Genèse 2:7 s’oppose également à la théorie de l’évolution. Elle révèle en effet clairement que l’homme est une création directe de Dieu et qu’il ne descend donc d’aucun animal.

Quel crédit peut-on accorder à cette version des faits? La science n’apporte aucune preuve de l’ascendance animale de l’homme. Rien ne prouve que les fossiles simiesques mis au jour en Afrique et ailleurs sont ceux d’ancêtres de l’homme. En réalité, si elles vivaient aujourd’hui, ces créatures seraient probablement placées dans des zoos avec les autres singes. Quant aux fossiles dont le squelette et la taille sont très proches de ceux des humains, il s’agissait vraisemblablement de représentants d’une branche de la famille humaine.

D’autre part, il existe un lien incontestable entre l’homme et ce que la Genèse appelle la “poussière du sol”. Tous les composants chimiques du corps humain se retrouvent dans la “poussière du sol”. En outre, l’homme a besoin de cette “poussière” pour entretenir sa vie. Il alimente et régénère son organisme en consommant des végétaux et des animaux qui ont eux-mêmes transformé des éléments nutritifs tirés de la “poussière du sol”.

Sauvage ou fils de Dieu?

On trouve une autre description de la création de l’homme en Genèse 1:26. Dieu dit: “Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’ils tiennent dans la soumission les poissons de la mer, et les créatures volantes des cieux, et les animaux domestiques, et toute la terre, et tout animal se mouvant qui se meut sur la terre.” (Genèse 1:26). La Bible nous apprend que Dieu est esprit. En conséquence, l’expression “à notre image” doit être comprise dans le sens de ‘possédant les qualités divines’.

Ce verset explique pourquoi l’homme est si différent des animaux, ce dont la théorie de l’évolution est incapable. Lui seul est en mesure de dominer sur la faune et la flore de son cadre de vie. Lui seul possède un sens moral et une conscience. Lui seul est doté du libre arbitre et d’une intelligence aussi développée. Lui seul a la faculté de concevoir l’existence de Dieu et de s’adresser à Lui grâce au don de la parole. Une revue (Journal of Semitic Studies) déclare: “Le langage humain est un secret, un don divin.”

Les évolutionnistes dépeignent les premiers hommes sous les traits de brutes sauvages. Il est hors de doute que, parmi les premiers représentants de la famille humaine, certains ont fait preuve d’une grande barbarie. Mais comme en témoignent les 100 millions de tués des guerres du XXe siècle, l’homme moderne n’a rien à envier à ses ancêtres. Aujourd’hui encore, il continue à se conduire en sauvage. En outre, la Bible montre que les facultés morales et intellectuelles des premiers hommes n’étaient en rien inférieures à celles de l’homme moderne (voir Genèse 4:20-22; 5:22; 6:9). Cela ne contredit pas les faits observés, témoin les peintures réalisées par de prétendus hommes préhistoriques sur les murs de la grotte de Lascaux, en France. La sensibilité et le sens artistique qui transparaissent à travers ces fresques soulèvent encore l’admiration de nos jours.

La signification exacte de la Genèse

Les premiers chapitres de la Genèse nous donnent donc un aperçu de ce qui s’est passé au commencement. Cependant, cet ouvrage n’est pas un livre de science détaillé, ce qui n’est d’ailleurs pas sa raison d’être. Les indications qu’il renferme sont fournies dans un but plus important.

La Genèse montre, par exemple, que pour être heureux l’homme devait continuellement coopérer avec son Créateur dans la réalisation de Son dessein. Mais ayant refusé de reconnaître cette obligation et s’étant rebellé contre les dispositions divines, l’homme perdit le bonheur qu’il goûtait à l’origine et il sombra dans le péché, la mort, et la brutalité que nous voyons encore de nos jours. — Genèse 3:1-18; Deutéronome 32:4, 5.

Cependant, grâce aux premiers chapitres de la Genèse nous apprenons qu’immédiatement après la rébellion de l’homme, Dieu a pris la première mesure visant, à long terme, à rétablir l’humanité dans cet état originel de bonheur. Une “postérité” viendrait, qui annulerait les effets néfastes du péché (Genèse 3:15). L’identité de cette Postérité constitue l’un des thèmes principaux d’une bonne partie de la Bible. Après avoir montré que cette Postérité est finalement venue en la personne de Jésus, le Messie, la Bible présente les dispositions que Dieu a prises par l’intermédiaire de Jésus en vue d’aider l’humanité à se détourner complètement de la voie catastrophique qu’elle a empruntée. Elle annonce également la transformation de la terre entière en un paradis peuplé d’humains parfaits, paradis où la guerre, la violence, la criminalité, le malheur, et même la maladie et la mort n’affligeront plus jamais la famille humaine. — Psaume 46:9; Révélation 21:4, 5.

Incontestablement, la Genèse n’est pas un simple récit de la création. Elle expose la situation passée, présente et future de l’humanité. Une bonne partie de l’Histoire, et même de la vie, demeure incompréhensible si l’on ne tient pas compte des premières étapes qui y sont décrites. En fait, notre avenir dépend de l’attention que nous portons à ce que dit exactement la Genèse. — 1 Jean 2:15-17.



Un artcile sur l'amour de Dieu
L’amour chrétien fondé sur l’amour de Jéhovah

“Je vous donne un commandement nouveau : que vous vous aimiez les uns les autres, et que, comme je vous ai aimés, vous aussi vous vous aimiez les uns les autres. À ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour entre vous.” — Jean 13:34, 35.

JEAN, rédacteur biblique et l’un des douze apôtres de Jésus Christ, avait beaucoup à dire sur la qualité chrétienne qu’est l’amour. Il était le fils de Zébédée et de Salomé. Dans son Évangile, les mots “amour” et ‘aimer’ se retrouvent plus souvent que dans les trois autres Évangiles réunis. Bien entendu, Jean parlait surtout de l’amour agapê, l’amour guidé ou dirigé par des principes.

2 Jean était bien placé pour parler de l’amour, car il fut tout particulièrement l’objet de l’amour et de l’affection de Jésus. Il était l’un des trois apôtres qui furent les compagnons les plus proches de Jésus durant son ministère public. Il était étendu à côté de lui lors de la dernière Pâque quand Jésus institua le Repas du Seigneur. Jean était connu comme “le disciple que Jésus aimait”. (Jean 13:23 ; 19:25-27 ; 21:7, 20.) L’apôtre Jean avait donc un passé et des souvenirs qui lui permettaient d’écrire sur la qualité chrétienne qu’est l’amour. C’est également lui qui consigna le “commandement nouveau” que Jésus donna à ses disciples en disant : “Je vous donne un commandement nouveau : que vous vous aimiez les uns les autres, et que, comme je vous ai aimés, vous aussi vous vous aimiez les uns les autres. À ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour entre vous.” — Jean 13:34, 35.

3 Jésus montra par ces paroles que l’amour sincère allait être la marque d’identification de ses vrais disciples. Mais pourquoi a-t-il dit qu’il s’agissait d’un “commandement nouveau” ? Il s’adressait à ses disciples qui étaient tous membres de la nation juive. Or, d’après la Loi de Moïse, les Juifs devaient aimer leur prochain comme eux-mêmes. Ainsi, dans Lévitique 19:18, la Loi ordonnait : “Tu ne devras pas te venger, ni garder de rancune contre les fils de ton peuple ; et tu devras aimer ton prochain comme toi-même.” En fait, dans son enseignement Jésus attira l’attention sur ce commandement de la Loi, en disant : “Voici le second [commandement], qui lui est semblable : ‘Tu dois aimer ton prochain comme toi-même.’” — Mat. 22:39.

4 La Loi de Moïse ordonnait au Juif d’aimer son prochain, mais pas de faire preuve d’un amour empreint d’abnégation et fondé sur des principes. En revanche, quand Jésus donna un “commandement nouveau” à ses disciples, il insista sur le fait que ceux-ci se distingueraient par un amour empreint d’abnégation. En effet, il ajouta : “Et que, comme je vous ai aimés, vous aussi vous vous aimiez les uns les autres.” Or, dans son amour fondé sur des principes, l’amour agapê, Jésus fit preuve d’abnégation. Il était prêt à aller jusqu’à donner sa vie pour ses disciples. Il consacra les années de son ministère public au bien de ses disciples et plus particulièrement à les enseigner et à les aider sur le plan spirituel. Ses disciples doivent donc l’imiter, c’est-à-dire ne pas se retenir ni attendre que l’occasion se présente de faire du bien à leur prochain. Les chrétiens doivent plutôt faire preuve d’initiative et travailler avec zèle au bien de leurs semblables, tout particulièrement en prêchant et en enseignant à l’exemple de Jésus, ce qui contribuera au bonheur spirituel des autres. Mais les disciples de Jésus devaient par-dessus tout s’aimer les uns les autres. Ils allaient ainsi se distinguer par leur amour les uns pour les autres, ce qui les rendrait nettement différents des gens du monde en général.

5 L’apôtre Jean accordait tant d’importance à cette marque d’identification du christianisme qu’il la mit en évidence non seulement dans son Évangile, mais aussi dans ses lettres. Par exemple, sa première lettre est vraiment une expression de son amour pour ses frères chrétiens. Il l’écrivit afin de les protéger contre les faux enseignements des antichrists de cette époque. Tout au long de cette lettre, Jean souligne également l’amour de Dieu et montre que les chrétiens doivent imiter cette qualité remarquable de Jéhovah, le Dieu Tout-Puissant.

6 Dans sa première lettre, chapitre 4, verset 8, Jean identifie Dieu à l’amour en disant : “Celui qui n’aime pas n’a pas appris à connaître Dieu, parce que Dieu est amour.” Jean parle ici de Jéhovah comme de la Source de l’amour, comme d’un Dieu d’amour. Bien sûr, il ne veut pas dire que Dieu n’est qu’une qualité abstraite. Pas du tout. Il reconnaissait que Dieu est une personne, une personne ayant de nombreuses qualités dont la plus remarquable est l’amour.

7 Jésus Christ, le Fils de Dieu, se distingua lui aussi par cette qualité, cet amour empreint d’abnégation. Il déclara que cette qualité serait la marque distinctive de ses vrais disciples. Aujourd’hui les témoins chrétiens de Jéhovah sont des adorateurs de Jéhovah, le Dieu d’amour, et les disciples ou imitateurs de Jésus, son Fils plein d’amour. Ils doivent donc faire preuve d’un amour sincère et empreint d’abnégation tous les jours de leur vie, afin de s’identifier aux vrais chrétiens. Jean exhorte les chrétiens à imiter Dieu en faisant preuve d’amour ; il dit : “Quant à nous, nous aimons, parce que lui [Dieu] nous a aimés le premier.” — I Jean 4:19.

LA PLUS BELLE EXPRESSION DE L’AMOUR DE JÉHOVAH

8 En quel sens Jéhovah nous a-t-il “aimés le premier” ? Qu’a-t-il fait pour nous, créatures humaines, pour nous manifester son amour désintéressé ? Les preuves de l’amour de Jéhovah à notre égard sont nombreuses. Mais quelle est la plus belle expression de cet amour ? Beaucoup penseront aussitôt à la vie. En effet, si nous vivons, c’est uniquement grâce à Jéhovah, la Source de toute vie, qui a donné la vie par amour (Ps. 36:9). Mais Jéhovah n’a-t-il pas donné la vie à d’autres créatures sur la terre ? Nous sommes émerveillés par l’extraordinaire variété de la création animale, des poissons et autres créatures marines, des oiseaux et des insectes. De toute évidence, ces créatures jouissent de la vie sans connaître Jéhovah, la Source de la vie. C’est pourquoi la plus belle expression de l’amour de Jéhovah doit être autre chose que le don de la vie par lui-même.

9 Pour la famille humaine Jéhovah a prévu quelque chose de mieux que la vie telle que nous la connaissons actuellement. En effet, il donne la possibilité de vivre éternellement à ceux qui l’aiment et le servent. Mais qu’a fait Jéhovah pour cela ? Il a donné avec amour Jésus Christ, son Fils unique fidèle. Les humains imparfaits ne lui ont pas demandé de prendre cette mesure pleine d’amour afin de pouvoir vivre à toujours. Mais, manifestant ainsi son amour, Jéhovah a pris l’initiative de ce don merveilleux. C’est pourquoi Jean écrivit : “L’amour à cet égard, ce n’est pas que nous ayons aimé Dieu, mais c’est lui qui nous a aimés et a envoyé son Fils comme sacrifice propitiatoire pour nos péchés.” — I Jean 4:10.

10 L’apôtre Paul confirme cette pensée en montrant que Jéhovah nous recommande son propre amour par le don de son Fils. Dans Romains 5:7, 8, il écrit : “À peine en effet quelqu’un mourra-t-il pour un homme juste ; pour un homme bon, oui, peut-être quelqu’un osera-t-il mourir. Mais Dieu nous recommande son propre amour en ce que Christ est mort pour nous alors que nous étions encore pécheurs.” Jéhovah n’a pas fait ce don plein d’amour sous le coup d’une impulsion. Non, il l’a prévu des siècles à l’avance, lorsqu’il prononça son jugement sur Adam et Ève en Éden (Gen. 3:15). Nous devons donc vraiment reconnaître que Jéhovah est la Source de l’amour et que, comme l’écrivit Jean, il “nous a aimés le premier”, recommandant ainsi l’amour comme la qualité distinctive que l’on doit trouver parmi ses adorateurs.

PREUVES MATÉRIELLES DE L’AMOUR DE JÉHOVAH

11 Outre le don plein d’amour de son Fils pour le salut et la délivrance de l’humanité et la vie elle-même qui peut devenir éternelle, il existe dans toute la création bien d’autres preuves de l’amour de Jéhovah. Il a sans aucun doute manifesté son amour en rendant la vie agréable. Par exemple, nous mangeons chaque jour, et même plusieurs fois par jour. Mais un repas est rarement ennuyeux. Jéhovah nous a fourni de nombreux aliments délicieux d’une diversité extraordinaire, d’une saveur extrêmement variée et se présentant sous des couleurs et des formes merveilleuses. Dans les pays riches, nous pouvons nous nourrir pendant des jours sans jamais manger la même chose. Il faut manger chaque jour pour vivre, mais dans son amour Jéhovah a fait en sorte que cela soit un plaisir.

12 On trouve d’autres preuves de l’amour de Jéhovah dans sa création physique (Rom. 1:20). Où qu’il vive l’homme peut constater la beauté de la terre, que ce soient les grandes forêts tropicales ou les montagnes majestueuses et enneigées. Il y a aussi la mer d’un bleu limpide et les plages de sable fin des régions tropicales ou subtropicales, ou les grandes plaines couvertes de champs de blé ondoyants. Pensons aussi aux lacs d’un bleu sombre et aux magnifiques forêts de sapins. Même les déserts ont leur beauté et leur charme. Nous avons tous été émerveillés par une belle nuit claire et étoilée. Les étoiles sont non seulement un spectacle admirable, mais elles permettent à l’homme de se diriger dans ses voyages. Elles ont donc un grand intérêt pratique. Elles sont, elles aussi, une preuve de l’amour de Jéhovah.

13 Dans toutes les parties de la terre nous trouvons d’autres preuves de l’amour de Jéhovah pour l’humanité. Citons la grande variété des animaux et des oiseaux qui, par leur beauté et leurs couleurs, contribuent à la joie de l’homme dont ils sont les compagnons. Oui, quelle extraordinaire variété dans toutes les formes de vie que Dieu a créées pour le bonheur et dans l’intérêt de l’homme ! Certains hommes consacrent toute leur vie à étudier cette preuve de l’amour de Jéhovah.

14 Chose plus importante encore, Jéhovah a créé les humains supérieurs aux animaux. Il a démontré son amour en faisant l’homme à son image et à sa ressemblance (Gen. 1:26, 27). Étant des créatures faites à la ressemblance de Jéhovah, nous avons la capacité d’aimer et la capacité d’apprécier les choses spirituelles. Nous sommes capables de connaître, d’aimer et d’adorer notre Créateur plein d’amour. Les animaux n’ont pas cette capacité. Une personne peut avoir un chien ou un chat et lui parler. Mais nous ne l’entendrons jamais discuter de questions spirituelles avec son chat ou son chien. Un animal est tout simplement incapable d’apprécier les choses spirituelles. En revanche, les humains peuvent et doivent les apprécier. Nous ne voyons pas Jéhovah Dieu, mais nous avons d’innombrables preuves de son amour dans toute sa création. Quand nous venons à le connaître, nous sommes alors en mesure de l’aimer et de lui rendre un culte. Comme Jésus l’a dit, nous pouvons l’adorer “avec l’esprit et la vérité”. (Jean 4:24.) Oui, Jéhovah a fait beaucoup de choses pour les hommes par amour pour eux. Nous sommes sans aucun doute de l’avis de Jean, qui écrivit : “Nous aimons, parce que lui nous a aimés le premier.” — I Jean 4:19.

15 En revoyant les preuves de l’amour de Jéhovah, nous pouvons nous rendre compte qu’il est un Père aimant, qu’il aime toutes ses créatures sur la terre. Il prend soin des intérêts de ses enfants, veille à leur bonheur et subvient à leurs besoins. Jésus nous a appris que si nous mettons vraiment le culte de Jéhovah à la première place dans notre vie, nous n’avons pas à nous inquiéter outre mesure de ce que nous mangerons ou boirons ni de quoi nous nous vêtirons. Montrant combien notre Père nous aime, Jésus déclara : “Cessez de vous inquiéter pour votre âme, de ce que vous mangerez et de ce que vous boirez, ou, pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. (...) Car votre Père céleste sait que vous avez besoin de toutes ces choses. Continuez donc à chercher d’abord le royaume et Sa justice, et toutes ces autres choses vous seront ajoutées.” (Mat. 6:25, 32, 33). Jéhovah, notre Père plein d’amour, s’intéresse donc à ses enfants. Si nous le servons et si nous faisons sa volonté, il veillera à ce que nous ayons les choses nécessaires pour vivre.

16 Les serviteurs de Dieu de notre époque doivent donc entretenir des relations étroites avec lui en le reconnaissant non pas simplement comme une divinité, mais comme un Père, un Père aimant. Ces relations doivent être celles qui existent entre un enfant et son père. Nous nous efforcerons donc de communiquer régulièrement avec notre Père en lui faisant part de nos besoins, de nos désirs et de nos problèmes, sans oublier de le remercier pour les nombreuses bénédictions qu’il nous accorde. Paul écrivit : “Ne vous inquiétez de rien, mais en toutes choses, par la prière et la supplication avec action de grâces, faites connaître à Dieu vos requêtes.” (Phil. 4:6). Quand il apprit à prier à ses disciples, Jésus ne leur dit pas de s’adresser à Jéhovah en l’appelant “notre Dieu”, mais plutôt “notre Père” qui est dans les cieux (Mat. 6:9). Il est donc bien de maintenir des relations personnelles étroites avec Jéhovah, notre Père aimant, et de communiquer régulièrement avec lui.

DIEU RÈGNE AVEC AMOUR, LE DIABLE DOMINE PAR LA HAINE

17 Jéhovah a un si grand amour pour ses créatures qu’il le manifeste même envers celles qui ne l’aiment pas. Rappelez-vous que Jésus a dit à ses disciples : “Continuez d’aimer vos ennemis.” (Mat. 5:44). Mais pourquoi Jésus pouvait-il parler ainsi ? À cause de l’excellent exemple que donne Jéhovah, son Père aimant. Selon Matthieu 5:45, Jésus déclara : “Afin de vous montrer fils de votre Père qui est dans les cieux, puisqu’il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons et qu’il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes.” Jéhovah accorde donc sa bénédiction à tous au moyen du soleil, de la pluie et d’autres choses indispensables à la vie. Même ceux qui ne le servent pas ou qui ne le connaissent pas sont ainsi bénis par lui. De plus, nous avons déjà vu qu’en envoyant son Fils sur la terre pour affranchir l’humanité, alors que les hommes étaient tous pécheurs et éloignés de lui, Jéhovah a établi le principe selon lequel nous devons aimer nos ennemis (Rom. 5:8-10). Sur la base de ce principe déjà établi par Jéhovah, son Père aimant, Jésus a donc pu nous apprendre que notre amour devait s’étendre jusqu’à nos ennemis. Vraiment l’amour de Jéhovah s’étend à tous et surpasse toutes choses. Étant la Source de l’amour fondé sur des principes (agapê), Dieu est pour nous un merveilleux exemple.

18 Étant l’Être suprême et le Souverain de l’univers, Jéhovah n’exerce pas sa domination par la crainte ou la haine. Il est un Dieu d’amour et sa souveraineté repose sur l’amour. Par conséquent, ceux qui servent Jéhovah et soutiennent sa souveraineté le font en raison de leur profond amour et de leur respect pour lui, et non poussés par une crainte servile. Ils reconnaissent sa sagesse, sa justice, sa puissance et son amour supérieurs et décident personnellement de l’adorer et de le servir, soutenant ainsi sa souveraineté. Leurs sentiments sont bien résumés par un psalmiste, qui déclara : “Car un jour dans tes cours vaut mieux que mille ailleurs. J’ai choisi de me tenir au seuil de la maison de mon Dieu, plutôt que de circuler dans les tentes de la méchanceté. Car Jéhovah Dieu est un soleil et un bouclier ; c’est la faveur et la gloire qu’il donne. Jéhovah ne refusera aucune chose bonne à ceux qui marchent sans défaut.” — Ps. 84:10, 11.

19 Évidemment, Satan a mis en question la domination empreinte d’amour de Jéhovah et il s’est privé lui-même de l’amour de Jéhovah, prétendant en réalité que celui-ci n’est pas un Dieu d’amour. Mais ce défi mensonger n’a pas affaibli l’amour de Dieu pour ses créatures. Un grand nombre d’entre elles se sont détournées de Jéhovah pour suivre Satan. Mais Dieu n’a pas cessé pour autant de manifester son amour et cela n’a pas empêché d’autres créatures de soutenir la souveraineté de Jéhovah en lui exprimant leur amour. Avec amour Jéhovah Dieu a envoyé son Fils des cieux pour qu’il justifie son nom et la confiance qu’il accorde à ceux qui l’aiment. Jésus a démontré que la confiance que Dieu lui avait accordée n’était pas mal placée. Il prouva également son amour pour son Père et pour l’humanité en allant jusqu’à donner sa vie et à mourir comme un vulgaire criminel sur un poteau de supplice. Grâce à cette manifestation d’amour de la part de Dieu et de son Fils, les humains peuvent espérer être affranchis du péché et de la mort et obtenir la vie éternelle. Dans Jean 3:16 nous lisons : “Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque exerce la foi en lui ne soit pas détruit, mais ait la vie éternelle.”

UNE ORGANISATION QUI REFLÈTE L’AMOUR DE DIEU

20 À la suite de l’intense ministère de Jésus sur la terre, ministère qui dura trois ans et demi, une nouvelle organisation vit le jour. Il s’agit d’une organisation de prédicateurs et d’enseignants qui suivent l’exemple de Jésus. Grâce à l’instruction efficace et pleine d’amour que Jésus leur donna, des hommes d’humble condition et peu instruits, comme Pierre et Jean, devinrent des orateurs et des enseignants puissants et efficaces (Actes 4:4, 13). Une congrégation internationale unie, formée de gens de toutes races, de toutes tribus et de toutes nations, fut ainsi constituée dans le but d’adorer Jéhovah par amour pour lui, les membres de cette congrégation reconnaissant évidemment que Dieu les avait “aimés le premier”. (I Jean 4:19.) Les premiers chrétiens étaient unis par l’amour agapê, amour fondé sur des principes conformes à la volonté de Dieu et guidé par ces principes. Comme l’écrivit Paul, “l’amour (...) est un parfait lien d’union”. — Col. 3:14.

21 Cette organisation composée des adorateurs chrétiens de Jéhovah, le Dieu d’amour, existe toujours aujourd’hui dans toutes les parties de la terre. Conformément à l’ordre de Jésus, elle s’est séparée du présent monde dépourvu d’amour. Dans une prière adressée à Jéhovah, Jésus avait dit : “Je te demande, non pas de les retirer du monde, mais de veiller sur eux à cause du méchant. Ils ne font pas partie du monde, comme je ne fais pas partie du monde.” (Jean 17:15, 16). Aujourd’hui, les membres de cette organisation sont connus sous le nom de témoins chrétiens de Jéhovah. Dans le monde entier, ils sont réputés pour l’amour dont ils font preuve les uns envers les autres et envers leurs semblables. Ils ont le merveilleux privilège d’adorer et de servir Jéhovah Dieu en tant que peuple uni dont tous les membres, de toutes races et de toutes nations, sont unis par le “parfait lien d’union” qu’est l’amour selon Dieu. Oui, les témoins chrétiens de Jéhovah ont la marque distinctive. Ils sont en effet connus pour leur amour pour leur Dieu Jéhovah et les uns pour les autres. Ils prouvent ainsi qu’ils sont les imitateurs de leur Dieu d’amour et les disciples de Jésus Christ, son Fils. — Éph. 5:1 ; Jean 13:34, 35.

Un artcile sur l'explication de la présence du mal
Chapitre 12

D’où vient le mal chez l’homme ?

L’HISTOIRE de la famille humaine n’est pas particulièrement réjouissante, surtout à cause de l’inhumanité de l’homme envers ses semblables. À maintes reprises, la méchanceté individuelle ou collective a précipité nations et peuples dans la brutalité et l’effusion de sang. En multipliant ses inventions, l’homme a augmenté ses moyens de provoquer l’affliction.

Trop souvent, le mal commis sans cesse par l’homme a fait souffrir les gens honnêtes et innocents. Victimes de la violence, beaucoup d’entre eux ont perdu leur foyer, ceux qui leur étaient chers, voire leur vie. Que vous ayez on non connu de tels malheurs, vraisemblablement vous n’avez pas échappé à la souffrance morale, qui est parfois plus terrible encore, et qui est due aux injustices, à la méchanceté et à la perfidie.

Des hommes et des femmes réfléchis se sont toujours demandé pourquoi pareil état de choses existe. Tôt ou tard, ils se posent des questions comme celles-ci : D’où vient le mal chez l’homme ? S’il y a un Dieu, pourquoi permet-il le mal ? Celui-ci prendra-t-il fin un jour ?

QUI PEUT FOURNIR LA RÉPONSE ?

Au cours des siècles, les philosophes et les chefs religieux ont médité sur le problème du mal. Cependant, leurs opinions à ce sujet sont divergentes. L’ouvrage Enseignements fondamentaux des grands philosophes (angl.) déclare :

“Un philosophe présente son idée, que beaucoup acclament comme la solution au problème. Mais bientôt un autre philosophe en découvre et en signale les failles, les lacunes et les erreurs. Il proposera alors une solution différente, qui à son avis est plus près de la solution parfaite.”

Pourquoi en est-il ainsi ? C’est que, comme le souligne encore le livre précité, même un grand philosophe est “incapable de brosser un tableau parfait. Seul un Dieu en est capable, un Dieu qui connaît l’histoire complète de tous les hommes et qui peut déceler les relations les plus subtiles. Aucun philosophe, si grand soit-il, ne peut prétendre être un tel Dieu219”.

Ces remarques renferment une vérité fondamentale et irréfutable. Nul homme ne peut, par sa propre sagesse, expliquer le mal et répondre à la question de savoir pourquoi Dieu l’a permis. Qui peut expliquer ces choses ? Pourquoi ne pas permettre à Jéhovah Dieu de répondre à cette question ?

En effet, si vous voulez connaître les opinions de quelqu’un sur un sujet donné, n’est-il pas préférable de vous adresser directement à cette personne, plutôt que de vous fier aux ouï-dire ? Dans ce cas, puisque d’aucuns reprochent à Dieu le Créateur d’avoir permis le mal, ne serait-il pas équitable et logique d’écouter ce qu’il dit lui-même quant aux raisons de son comportement ?

Où Dieu fournit-il ces explications ? Il n’est sûrement pas raisonnable de penser qu’après avoir créé l’homme, Dieu l’ait abandonné sans lui transmettre aucun récit inspiré révélant l’histoire authentique de ses relations avec le genre humain, et exposant le point de vue divin sur les choses touchant l’homme. Par bonheur, Dieu a fourni une telle révélation. L’apôtre chrétien Paul, un homme qui craignait Dieu et écrivait sous l’inspiration du Créateur, déclare :

“Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour reprendre, pour redresser les choses, pour discipliner selon la justice, afin que l’homme de Dieu soit entièrement compétent, complètement équipé pour toute bonne œuvre.” — II Timothée 3:16, 17.

Il y a encore des millions de gens qui croient que les saintes Écritures consignées dans la Bible contiennent la Parole inspirée de Dieu, et qu’elles constituent la révélation que le Créateur a communiquée aux hommes désireux de le connaître, lui et ses desseins. Pourquoi ne pas prendre un peu de temps pour examiner cette révélation, rédigée sous l’inspiration divine, afin de trouver la réponse aux questions suivantes : D’où vient le mal chez l’homme ? Pourquoi Dieu a-t-il permis le mal ? Que nous réserve l’avenir ?

Pour commencer, il convient de voir comment Dieu créa l’homme et le dota de certaines qualités. Cela nous aidera à déterminer comment le mal a pu surgir au sein de la famille humaine.

L’HOMME A ÉTÉ CRÉÉ LIBRE

Aimeriez-vous qu’on vous dicte tous vos faits et gestes, qu’on vous impose une certaine ligne de conduite en traçant un emploi de chaque instant de votre temps, et qu’on vous oblige à ne jamais vous en écarter d’un iota ?

Ou bien préférez-vous être libre de choisir votre occupation, le lieu de votre demeure, votre nourriture, vos vêtements et comment occuper vos loisirs ?

La réponse à ces questions est évidente. Aucun homme équilibré ne veut perdre sa liberté. Cela se voit d’ailleurs dans les nations gouvernées par une dictature oppressive. Un gouvernement tyrannique étouffe toute initiative, toute joie. Il engendre un tel mécontentement parmi le peuple que très souvent celui-ci se révolte afin de secouer le joug.

Ce n’est pas par hasard que nous avons en nous ce désir de liberté. Selon la Bible, lorsque Dieu créa le premier homme, qu’il nomma Adam, il lui conféra non seulement la vie, mais un autre don précieux : le libre arbitre. L’homme ne devait pas être un simple robot, un automate. Il fut doté de la faculté de choisir. Ainsi, l’ancienne nation d’Israël reçut cette invitation : “Choisissez aujourd’hui qui vous voulez servir.” — Josué 24:15 ; Genèse 1:26-28.

Si le Créateur avait voulu que l’homme soit un automate, il ne l’aurait pas doté de capacités intellectuelles, et notamment des facultés de discernement, de jugement, de raison, en un mot, de la capacité de prendre des décisions. En tant que robot, l’homme n’aurait pas eu besoin de ces facultés, pas plus qu’une machine ou une plante n’en a besoin.

CE QUE SIGNIFIE LA PERFECTION HUMAINE

Dieu créa le premier homme Adam et la première femme Ève parfaits, c’est-à-dire complets, dotés d’un organisme physique sans défauts. Mais cela veut-il dire qu’ils ne pouvaient faire que le bien ? Certainement pas, car tout en étant parfaits, complets, en ce qui concerne leurs facultés mentales et physiques, ils possédaient néanmoins le libre arbitre.

La perfection du premier homme et de la première femme ne signifiait pas que tout leur était possible. Par exemple, ils ne pouvaient vivre dans l’espace sans oxygène, et ils ne pouvaient pas non plus rester longtemps sous l’eau sans un équipement spécial. Ils devaient aussi manger et boire pour rester en vie. Ils étaient parfaits, mais dans les limites imposées à l’espèce humaine.

De même, pour eux, être parfaits ne signifiait pas que dès leur création ils possédaient une connaissance universelle infuse. À la différence des animaux, qui possèdent des instincts mais ne peuvent progresser au-delà d’un certain point, l’homme reçut la faculté d’augmenter continuellement ses connaissances.

Même concernant Jésus-Christ, la Bible déclare : “Bien qu’il fût Fils [de Dieu], il a appris l’obéissance.” (Hébreux 5:8). Ainsi, sous la direction divine, Adam pouvait apprendre beaucoup de choses. Il pouvait sans cesse accroître ses connaissances, pour son propre bien et pour celui de toute la famille humaine composée de ses descendants. Cependant, il devait, lui aussi, apprendre l’obéissance.

Adam, qui possédait le libre arbitre, pouvait choisir de concentrer son esprit sur le mal et laisser ce dernier l’inciter à commettre des actions mauvaises. La Bible dit : “Chacun est éprouvé en étant attiré et séduit par son propre désir. Puis, quand le désir est devenu fécond, il donne naissance au péché.” Ou bien, Adam pouvait choisir d’être obéissant. On voit donc que sa perfection ne l’empêchait pas de concevoir une idée mauvaise ou de décider de nourrir des désirs coupables qui l’amèneraient à violer la loi de Dieu. — Jacques 1:14, 15.

Par conséquent, il apparaît clairement que ce furent la volonté et le choix personnels d’Adam, plutôt que sa perfection physique, qui déterminèrent sa conduite. Si nous prétendions qu’il est impossible à un homme parfait de se fourvoyer volontairement quand il doit choisir entre le bien et le mal, il s’ensuivrait logiquement qu’un homme imparfait est dans l’impossibilité de choisir volontairement la bonne voie lorsqu’il se trouve devant le même choix. Et pourtant, encore aujourd’hui, il est des humains imparfaits qui choisissent la bonne voie sur des questions morales impliquant l’obéissance aux lois de Dieu, préférant même subir la persécution plutôt que de s’écarter de cette voie. En revanche, d’autres font le mal de propos délibéré. Ainsi, on ne peut excuser toutes les actions mauvaises en les attribuant à l’imperfection humaine. Les facteurs déterminant sont la volonté et le choix personnels. De même, le fait que le premier homme était parfait ne garantissait pas en soi qu’il suivrait automatiquement la bonne voie. Il fallait pour cela qu’il exerçât sa propre volonté et opérât un choix motivé par son amour pour Dieu et pour le bien.

LA DIRECTION DIVINE EST INDISPENSABLE

Pour son propre bien, l’homme avait besoin d’être guidé et dirigé par Dieu. La raison de cette dépendance est à ce point vitale et fondamentale que si l’homme n’en comprenait pas l’importance, il s’attirerait de graves ennuis. Voici cette raison : L’homme n’a pas été créé pour vivre ou pour gouverner indépendamment de Dieu.

Dieu ne conféra pas à l’homme le droit ou la capacité de vivre ou de gouverner ses affaires avec succès indépendamment de son Créateur. La liberté accordée à l’homme était relative, maintenue dans des limites convenables, salutaires, qui contribueraient à son bonheur. C’est pourquoi Dieu inspira à son prophète Jérémie ces paroles : “Je le sais, ô Jéhovah, ce n’est pas à l’homme qu’appartient sa voie, ce n’est pas à l’homme qui marche de diriger ses pas. Châtiez-moi, Jéhovah.” Pour la même raison, la Bible recommande : “Confie-toi de tout ton cœur à Jéhovah, et ne t’appuie pas sur ta propre intelligence.” — Jérémie 10:23, 24 ; Proverbes 3:5.

En conséquence, bien que l’homme fût parfait en tant qu’organisme physique, la direction de son Dieu et Créateur lui était nécessaire s’il voulait vivre dans la paix et le bonheur, et réussir dans toutes ses voies. Si jamais il cessait de se laisser guider et diriger par Dieu, son esprit, quoique parfait, ne manquerait pas de se détériorer spirituellement, tout comme son corps parfait dépérirait s’il était privé de nourriture matérielle. Son besoin de nourriture spirituelle, c’est-à-dire des conseils et des instructions venant de Dieu, n’était pas moins impérieux que son besoin de nourriture corporelle. Cette vérité a été énoncée à la fois dans la Loi de Moïse et par Jésus-Christ (Deutéronome 8:3 ; Matthieu 4:4). Si l’homme refusait de se soumettre à la direction du Dieu Tout-Puissant, il en résulterait inévitablement le chaos au sein du genre humain.

Il s’ensuit que si l’homme cessait de se confier en Dieu et de lui obéir, et commençait à se fier à sa propre sagesse, il perdrait la paix et le bonheur. N’est-ce pas ce qui est arrivé ? En effet, que voyons-nous aujourd’hui ? Une grande famille d’hommes doués du libre arbitre, unis par les liens de l’amour, heureux, débordant de la joie de vivre, ou bien une humanité malheureuse, divisée et dans le désarroi ? La réponse, évidente, est attestée par les pages de l’histoire ancienne et moderne. Sans aucun doute, l’homme a perdu le vrai bonheur, et il subit les conséquences de la généralisation du mal, parce qu’il ne suit plus la direction divine.

LE MAUVAIS CHOIX

Exerçant leur libre arbitre, nos premiers parents, Adam et Ève, ont préféré ne plus se laisser guider par Dieu. Ils ont nourri de mauvais désirs qui les ont amenés à lui désobéir. Ils ont transgressé l’ordre si clairement énoncé par Dieu. Cette façon d’agir était ni plus ni moins qu’une rébellion ouverte contre leur Créateur. — Genèse 2:16, 17 ; 3:1-6.

Cependant, en agissant de la sorte, l’homme ne jouissait plus de la direction et de la bénédiction divines. Le premier couple humain choisit cette voie, et Dieu ne l’empêcha pas de le faire. Toutefois, puisque l’homme refusait de se laisser gouverner par Dieu le Créateur, celui-ci ne le maintiendrait plus dans la perfection. Au lieu de vivre éternellement sur la terre, perspective qui lui avait été offerte à l’origine, l’homme subirait une dégénérescence. Son organisme se détériorerait et il finirait par mourir.

Dieu informa le rebelle Adam de ce qui allait lui arriver à cause de sa désobéissance, et nous observons encore aujourd’hui les effets de ce jugement défavorable. Dieu lui déclara : “C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras ton pain, jusqu’à ce que tu retournes à la terre, parce que c’est d’elle que tu as été tiré ; car tu es poussière et tu retourneras en poussière.” (Genèse 3:19). Dieu énonçait ici une loi universelle qui est tout aussi immuable que les lois de la pesanteur, savoir le péché produit la mort. La désobéissance d’Adam mit l’humanité sur la voie de la dégénérescence, car le premier homme ne pouvait produire des descendants qui seraient exempts des effets physiques de son péché. Il est écrit : “C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde et la mort par le péché, (...) ainsi la mort s’est étendue à tous les hommes, parce qu’ils ont tous péché.” — Romains 5:12.

DIEU EST-IL RESPONSABLE DU MAL COMMIS PAR L’HOMME ?

Adam et Ève étaient eux-mêmes responsables du mal qui les frappa. Dieu les avait prévenus des conséquences qu’entraînerait la transgression de ses justes lois. Et pourtant, ils choisirent la voie de la désobéissance. Mais que dire de tout le mal commis au cours des millénaires qui se sont écoulés depuis lors ? De qui est-ce la faute ? Dieu en est-il responsable ?

La Bible incrimine deux responsables, dont l’un est l’homme lui-même. Examinons d’abord sa responsabilité.

Lorsqu’un crime est commis, qui est puni ? Serait-il juste de condamner la victime et de laisser le criminel en liberté ? N’est-ce pas ce dernier qui est coupable et mérite de porter la peine de son forfait ? Il serait injuste d’incriminer la victime innocente. De même, nous ne devons pas imputer à Dieu des actions mauvaises. Il faut rejeter le blâme sur ceux qui en sont les auteurs.

N’oublions pas que les descendants d’Adam sont nés dans le péché et en subissent les conséquences. Ils possèdent cependant le libre arbitre. Tout comme Adam, ils sont libres de faire le bien ou le mal. Certes, à cause de leur imperfection, ils commettent beaucoup de fautes. Mais s’ils font le mal de propos délibéré, ils n’ont à s’en prendre qu’à eux-mêmes. Voilà pourquoi la Bible dit, dans Deutéronome 32:5 : “S’ils se sont corrompus, à lui [Dieu] n’est point la faute.” — Bible Segond.

Évidemment, beaucoup de gens honnêtes, qui s’efforcent de faire le bien, sont victimes des crimes d’autrui. Qu’ils sachent toutefois que ce n’est pas Dieu qui est responsable de leurs malheurs, mais bien les criminels. De plus, Dieu n’est pas indifférent à leurs souffrances, car nous verrons par la suite ce qu’il a fait en vue de les délivrer de leur triste sort et d’effacer le mal dont ils ont été victimes.

ON A TENDANCE À REJETER LA FAUTE SUR AUTRUI

Il ressort de ce qui précède qu’une grande partie du mal commis au cours des millénaires écoulés est imputable à l’homme lui-même. Quoi qu’en disent beaucoup de gens, on ne peut en rendre Dieu responsable. Adam, lorsque Dieu lui demanda compte de sa transgression, voulut lui aussi se disculper en rejetant la faute sur “la femme que vous [Dieu] m’avez donnée pour compagne”. (Genèse 3:12.) Cependant, Dieu n’avait rien fait de répréhensible, de méchant ou d’injuste. Bien au contraire, il avait fait preuve d’un grand amour envers l’homme, en lui donnant la vie, une demeure édénique sur la terre, une femme ravissante et la domination sur les animaux ou créatures inférieures.

Ce fut Adam qui commit le mal, qui agit d’une manière inique. La Bible affirme qu’“Adam ne fut pas trompé”. Il était capable de choisir, et du fait qu’il décida de faire le mal, lui et ses descendants ont souffert. — I Timothée 2:14.

Au cours des siècles, les hommes ont eu la même tendance qu’Adam : ils ont voulu rendre Dieu responsable des malheurs qui les accablaient. Certains transgressent de plein gré les lois divines, s’attirant des difficultés et des peines. Ils reprochent à Dieu de ne pas intervenir pour leur épargner des déboires. Mais Dieu n’est pas fautif. Ces gens souffrent à cause de leur propre inconduite.

Certes, beaucoup de personnes sont perplexes et désirent sincèrement savoir pourquoi Dieu permet le mal, mais la sincérité des autres, qui blâment Dieu, est contestable. Ces gens sont-ils vraiment honnêtes lorsqu’ils prétendent que dès l’origine Dieu aurait dû empêcher l’homme de se détourner de la bonne voie ? Souhaitent-ils réellement que Dieu exerce sur leur propre personne une autorité plus rigoureuse ? Les hommes en général ont-ils jamais désiré voir Dieu se servir de sa puissance pour les empêcher de suivre une voie mauvaise ? S’ils ne veulent pas que Dieu agisse de la sorte à leur égard, pourquoi pensent-ils qu’il aurait dû agir ainsi envers nos premiers parents ? Ces gens ne ressemblent-ils pas à ceux qui préconisent l’application rigoureuse des lois, mais qui se froissent lorsqu’un agent de la circulation leur donne une contravention ? — Ézéchiel 18:29-32.

Quand des nations entières se comportent de façon criminelle, ont-elles le droit de rendre Dieu responsable des souffrances et des malheurs qui leur arrivent ? Si elles font fi des commandements divins, peuvent-elles attribuer leurs déboires à Dieu et lui reprocher de ne pas voler à leur secours ? Ce sont les dirigeants qui attirent le malheur sur le peuple qu’ils gouvernent.

LA MALADIE

Qu’en est-il cependant des souffrances provoquées par la maladie ? Même des personnes honnêtes tombent malades, sans qu’il en soit de leur faute. Un tout petit enfant peut contracter une maladie qui le rend infirme pour le restant de ses jours, ou à laquelle il succombe. Mais on ne peut pas dire que c’est sa faute. Pourquoi donc doit-il souffrir ?

En ce qui concerne la maladie et les douleurs physiques, nous devons en rendre responsables Adam et Ève. C’est à cause de leur rébellion que notre corps est imparfait et fonctionne plus ou moins bien. Ils ne pouvaient produire des descendants exempts de leur propre imperfection. Nous lisons dans Job 14:4 : “Qui peut tirer le pur de l’impur ? Personne.” — Psaume 51:7 ; Luc 5:18-25.

Si, par exemple, des parents font fi de la loi divine, vivent dans la débauche et contractent une maladie vénérienne, qui faut-il incriminer si leurs enfants naissent avec une tare physique ou mentale ? La faute n’en est-elle pas à ces parents “impurs” ?

De même, nos premiers parents devinrent “impurs”, imparfaits, sujets à la maladie et à la mort. Ils ne pouvaient transmettre à leurs enfants que ce qu’ils possédaient eux-mêmes. Étant leurs descendants, tous les hommes sont sujets, eux aussi, à la maladie, à la malformation et à la mort. C’est pourquoi même les enfants souffrent. La révolte du premier couple contre Dieu explique dans une large mesure la triste situation qui règne actuellement au sein de la famille humaine.

LA FAUSSE RELIGION PARTAGE LA RESPONSABILITÉ

Les religions traditionnelles ont souvent attribué à Dieu les malheurs de l’humanité. Elles ont enseigné que la volonté de Dieu à l’égard des hommes est qu’ils subissent des catastrophes et qu’ils vivent dans la misère, la saleté et l’ignorance. Dans certains pays, la religion enseigne qu’une vache est plus sacrée qu’un homme, et que même si l’homme meurt de faim, il ne doit pas se nourrir de la chair de cette bête. Or, la Parole de Dieu affirme le contraire (Genèse 9:3 ; I Corinthiens 10:25). C’est ainsi que les enseignements religieux qui ne sont pas fondés sur la Parole de Dieu augmentent les souffrances de l’humanité, tout en prétendant que Dieu en est responsable.

D’autres religions justifient les guerres livrées par les dirigeants politiques, allant jusqu’à bénir les canons et encourager les soldats à s’entre-tuer, bien qu’ils professent la même religion. Dieu n’est cependant pour rien dans ces guerres et il n’y prend aucune part. Au contraire, il va faire cesser les combats une fois pour toutes. — Psaume 46:10 ; Isaïe 2:4.

N’en déplaise aux fausses religions qui prétendent le contraire, Dieu n’est pas responsable de l’inhumanité dont les hommes ont fait preuve les uns envers les autres. Il était étranger aux inquisitions démoniaques organisées par des chefs religieux du Moyen Âge obscurantiste. Il n’a jamais autorisé de tels crimes horribles. Parlant de la pratique païenne consistant à brûler des enfants en holocauste aux faux dieux, pratique introduite en Israël, Jéhovah Dieu déclara : “Ils ont construit les hauts lieux de Topheth dans la vallée du fils de Hinnom, pour brûler au feu leurs fils et leurs filles, ce que je n’avais point commandé et qui ne m’était pas venu à la pensée.” Il est donc injuste de rendre Dieu responsable de pareils actes, alors qu’il les condamne. — Jérémie 7:31.

Les injustices commises au nom de la religion sont particulièrement odieuses à Dieu. Jésus-Christ déclara aux chefs religieux de son époque : “Malheur à vous, scribes et Pharisiens, hypocrites ! parce que vous ressemblez à des tombeaux blanchis, qui à l’extérieur paraissent beaux mais qui au dedans sont pleins d’ossements de morts et de toute sorte d’impureté. Pareillement, vous aussi, à l’extérieur, vous paraissez justes aux hommes, mais au dedans vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité.” (Matthieu 23:27, 28). Ces paroles s’appliquent également de nos jours aux chefs religieux qui prétendent servir pieusement Dieu, mais dont les actions le déshonorent.

L’iniquité de la fausse religion ne peut être imputée à Dieu. Une Église a beau prétendre exister depuis des siècles, quand elle se sert de l’épée pour convertir les gens, elle n’accomplit pas la volonté divine. Si sa façon d’agir est contraire à la volonté de Dieu exprimée clairement dans sa Parole, cette religion doit porter la responsabilité des souffrances qu’elle provoque. Dieu n’y est pour rien.

Cependant, nous avons dit plus haut qu’il faut incriminer deux responsables du mal. Il est vrai que l’homme s’est attiré pas mal de difficultés en choisissant volontairement de faire ce qui est mal. Mais il existe encore un autre responsable.

QUI EST LE PRINCIPAL RESPONSABLE ?

Lorsque des criminels déploient leur activité à l’abri d’une organisation bien conçue ayant de nombreuses façades apparemment légales, le profane a du mal à découvrir la tromperie et même à croire à l’existence de ces puissances occultes. Or, la créature malfaisante dont les actes et les projets criminels ont le plus contribué à infliger à l’humanité des souffrances inouïes, travaille également dans l’ombre. Cependant, nous ne sommes pas obligés de rester dans l’ignorance à son sujet, car Dieu a dévoilé ses agissements, afin que nous puissions les connaître et nous protéger contre eux.

Dans sa Parole, Dieu identifie celui qui est principalement responsable du mal. C’est celui-là même qui brisa l’intégrité d’Ève et l’incita à se rebeller contre son Créateur, le Dieu juste.

Il s’agit d’une créature spirituelle invisible, mais nous ne devrions pas douter de son existence pour autant. Il fut un temps où l’on doutait de l’existence des micro-organismes pathogènes, parce qu’ils sont invisibles à l’œil nu. Tout comme cela n’était pas une raison valable pour nier leur existence, nous ne devrions pas non plus douter de celle de cette créature spirituelle.

Aujourd’hui, la cause exacte du cancer est inconnue, cependant les savants ne disent pas, en haussant les épaules : “Le cancer ? Eh bien, il a pour cause le cancer !” Ils sont persuadés que cette affection a une cause réelle. Pareillement, le mal n’a pas pour cause le mal ; il a eu un commencement. Par ailleurs, sa propagation et ses proportions actuelles parmi les hommes témoignent d’un “foyer” actif.

Les ondes radioélectriques sont invisibles ; pourtant, nous savons qu’elles existent à cause de l’effet qu’elles produisent sur un poste récepteur. Nous y croyons, bien que nous ne les ayons jamais vues à l’œil nu. Nous savons que les ondes électromagnétiques ont une source, même lorsqu’elles nous parviennent de l’espace intersidéral. Il existe bien des choses qui sont invisibles à l’œil nu, mais dont nous reconnaissons la réalité à cause des résultats qu’elles produisent. De même, nous pouvons constater l’existence de la créature invisible qui est à l’origine du mal, car les résultats de son activité sont visibles. En outre, la Bible atteste son existence.

Le troisième chapitre de la Genèse nous relate comment un serpent parla à Ève, la première femme, et lui dit le premier mensonge. Dieu le Créateur avait déclaré que la violation de ses lois conduirait inévitablement à la mort, mais le serpent dit à Ève : “Non, vous ne mourrez point.” Il ajouta même : “Vos yeux s’ouvriront et vous serez comme Dieu.” Ève crut ce mensonge et désobéit à Dieu. Puis elle amena son mari à se joindre à elle dans cette rébellion. — Genèse 3:4, 5.

Cependant, qui, en réalité, mentit à Ève et fit naître dans son esprit l’idée de se révolter ? Un simple serpent, bête non dotée d’organes vocaux ? Non, quelqu’un se dissimulait derrière le serpent et faisait croire que celui-ci parlait. On sait qu’un ventriloque habile peut donner l’illusion qu’un animal ou même une marionnette est en train de parler. Dès lors, ne serait-il pas infiniment plus facile pour une créature spirituelle et invisible d’en faire autant ? Dans Apocalypse ou Révélation 12:9, la Bible identifie cette puissante créature spirituelle en l’appelant “le serpent originel”. Elle l’identifie clairement à Satan le Diable.

Voici donc démasqué l’odieux ennemi de l’homme, le principal responsable de la généralisation du mal sur la terre tout entière.

ILS CÉDÈRENT À DE MAUVAIS DÉSIRS

Il est évident que le Dieu dont l’“œuvre est parfaite” ne donnerait pas l’existence de propos délibéré à une créature inique (Deutéronome 32:4). Pareille façon d’agir serait contraire à son amour de la justice. — Psaumes 5:5-7 ; 15:1, 2.

La créature invisible qui amena Adam et Ève à se révolter était parfaite et sans défaut. Cependant, tout comme le premier couple humain, elle possédait le libre arbitre, la faculté de choisir entre le bien et le mal. Elle choisit la voie du mal parce qu’elle avait arrêté sa pensée sur un désir illégitime. Par exemple, on pourrait se trouver en visite chez quelqu’un et voir sur la table une montre. Il est évident que la possibilité existe de prendre cette montre et de la mettre dans sa poche, mais on n’y songe même pas. Ou bien, si l’on y songeait, on écarterait cette pensée, sans plus. Toutefois, si l’on nourrissait pareille idée, permettant à ce désir mauvais de prendre racine et de se développer, on amorcerait ainsi le processus du mal, et on pourrait très bien finir par commettre un vol.

Ce même processus amena une créature spirituelle parfaite à se transformer en Satan le Diable. Celui-ci vit la possibilité de se servir du premier couple humain à ses propres fins, plutôt que de se conformer au dessein de Dieu. Non seulement il envisagea cette possibilité, mais il ne chassa pas cette idée de son esprit. Il nourrit ce mauvais désir, et cela l’amena à faire le mal, à pécher. Il devint ainsi, de son plein gré, la principale puissance du mal. Dieu n’était nullement responsable de la voie qu’il choisit de suivre.

Il ressort donc de ce qui précède que Satan le Diable est le principal responsable du mal qui existe partout dans le monde. La Bible l’affirme en ces termes (I Jean 5:19) : “Le monde entier gît au pouvoir du mauvais.” Cependant, le Diable n’est pas la seule créature invisible malfaisante. Les saintes Écritures déclarent que le chrétien doit “lutter, non contre le sang et la chair, mais contre (...) les forces spirituelles mauvaises qui sont dans les lieux célestes”. (Éphésiens 6:12.) Par conséquent, d’autres esprits mauvais, les démons, sont également responsables de la généralisation du mal. — Révélation 12:9.

Mais pourquoi des esprits créés par Dieu se transformèrent-ils en démons ? Encore une fois, ce fut à cause de leurs mauvais désirs. La Bible nous relate que certaines créatures spirituelles, précisément à cause de leurs mauvais désirs, abandonnèrent la fonction qu’elles devaient remplir dans l’univers, se soumettant ainsi à la direction du grand rebelle, le Diable (Genèse 6:2 ; II Pierre 2:4 ; Jude 6). Ces esprits rebelles ont fait venir sur l’humanité toutes sortes de malheurs.

ILS SONT RESPONSABLES DES MALHEURS ACTUELS

La Bible annonce pour notre époque un accroissement notable de la criminalité. Elle nous en donne la raison en révélant que Satan et ses démons sont actuellement confinés dans le voisinage de notre planète. Nous lisons : “Malheur à la terre et à la mer, parce que le Diable est descendu vers vous, étant en grande colère, sachant qu’il a un court espace de temps.” — Révélation 12:12.

D’autres prophéties concernant notre époque, par exemple celles qui sont consignées dans le troisième chapitre de la seconde lettre adressée à Timothée et dans le vingt-quatrième chapitre de Matthieu, décrivent les malheurs résultant de la généralisation du mal. Cet état de choses existe parce que les hommes ont permis aux démons de s’emparer de leur esprit et de les guider. Sachant qu’ils n’ont qu’“un court espace de temps”, Satan et ses hordes de démons essaient de duper le plus d’hommes possible, de les amener à se révolter contre Dieu, et ainsi de les entraîner avec eux à leur perte. — Révélation 16:13, 14.

À cette fin, ils se servent, entres autres, de gouvernements iniques qui s’arrogent le pouvoir d’enrégimenter les masses et d’obliger les gens à violer les lois divines. C’est à juste titre que la sainte Bible décrit ces gouvernements humains sous la figure de bêtes sauvages, cruelles et destructrices (Daniel 8:1-8, 20-25). Comme le montre le treizième chapitre de la Révélation, Satan lui-même a donné à ces gouvernements leur autorité. Il est le “dieu de ce système de choses”. (II Corinthiens 4:4.) C’est lui qui est l’instigateur de leur domination tyrannique, de leurs guerres horribles et des persécutions qu’ils ont infligées aux hommes craignant Dieu parce que ceux-ci obéissent aux lois divines. Il a incité ces gouvernements à s’arroger des droits et des pouvoirs que seul Dieu peut exercer avec sagesse et en toute sécurité. Il leur a inspiré tous les blasphèmes qu’ils ont proférés contre Dieu. C’est pourquoi si, de nos jours, les nations se dévorent mutuellement, ce n’est pas parce que Dieu est leur souverain, mais parce qu’elles font partie de l’organisation de Satan. — Luc 4:5-8.

On voit donc que les malheurs terribles et la méchanceté généralisée qui ont fait souffrir les hommes ne sont pas le fait du Dieu Tout-Puissant. Ils sont surtout provoqués par les grands ennemis de l’humanité, Satan le Diable et ses hordes de démons.

Bien que celui qui s’est transformé en Satan le Diable ait incité Adam et Ève à s’associer à lui dans sa rébellion contre l’autorité de Dieu, nous ne devons pas oublier qu’il ne pouvait pas les obliger à faire le mal. Adam et Ève n’étaient pas à ce point faibles et incompétents qu’ils ne pouvaient lui résister. La Bible déclare : “Opposez-vous au Diable, et il fuira loin de vous.” Nos premiers parents étaient tout à fait capables de dire à cet esprit menteur qu’ils ne se joindraient pas à lui. Des siècles plus tard, Jésus, lui aussi homme parfait, prouva qu’il est possible de résister au Diable, puisqu’il lui déclara : “Va-t’en, Satan ! Car il est écrit : ‘C’est Jéhovah ton Dieu que tu dois adorer, et c’est à lui seul que tu dois rendre un service sacré.’” — Jacques 4:7 ; Matthieu 4:10.

Si, à l’exemple de Jésus, Adam et Ève avaient répondu à Satan de cette manière, le monde n’aurait pas connu le mal qui règne de nos jours. Par conséquent, tandis que Satan est le principal coupable, et qu’il est responsable de la mort d’Adam et Ève, ceux-ci portent également une part de responsabilité, car ils auraient pu résister à ses mauvais conseils. Puisqu’ils ne l’ont pas fait, tous leurs descendants, — et nous sommes du nombre, — ont hérité d’eux l’imperfection et ses conséquences : la maladie, la souffrance et la mort. — Hébreux 2:14.

Bonne lecture :wink:

Posté : 03 janv. 2008 10:24
par Sammy
Quand on pose une question à un témoin de jéhovah qui ne demande qu'une réponse plus ou moins brève, il sort un copier/coller gigantesque afin de noyer l'individu sous une tonne d'informations dont il n'a que faire à ce moment précis de son questionnement.

C'est une bonne méthode pour impressionner mais qui n'aide pas au recrutement de nouveaux adeptes. Cela ne m'étonne pas que vos nouvelles recrues sont des enfants de témoins de jéhovah !

Posté : 03 janv. 2008 10:27
par leo
Certes, le texte (quoique très instrucitf) n'est qu'en peu de choses en rapport avec mes questionnement notamment sur le bie net mal... c'est frustrant de se dire qu'un Dieu est au dessus de nous et que ses lois sont souvent à l'encontre de nos envies mais après il a surement ses raisons qui nous échappent

Posté : 03 janv. 2008 10:32
par Sammy
Les témoins de jéhovah vont vous dire que Dieu est un être juste et bon. Qu'est-ce que la justice, qu'est-ce que la bonté ?

Dieu a massacré, fait massacrer ou laisser massacrer des populations entières. Sodome, l'Égypte, les enfants jusqu'à deux ans sous Hérode... Comment concevoir que Dieu soit réellement impartial ? Non, il ne l'est pas. Du moins, il ne l'a pas toujours été.

Il y a une réelle dichotomie entre le Dieu du Premier Testament et le Dieu du Deuxième Testament. Le Père que Jésus dévoile par l'incarnation est réellement amour. Il est tellement amour, ce Dieu, qu'il a offert son Fils. Il est tellement amour qu'il offre la possibilité aux hommes d'êtres sauvés, pardonnés, même s'ils ne choisissent pas la "vraie" religion.

D'ailleurs, cette "vraie" religion existe-t-elle ? Bien sûr que non, elle n'existe pas. Si elle existait, cela voudrait dire qu'aucun de ses membres ne se rendrait coupable d'exaction et qu'ils seraient tous respectables.

Posté : 03 janv. 2008 10:35
par Eloquence
leo a écrit :Certes, le texte (quoique très instrucitf) n'est qu'en peu de choses en rapport avec mes questionnement notamment sur le bie net mal... c'est frustrant de se dire qu'un Dieu est au dessus de nous et que ses lois sont souvent à l'encontre de nos envies mais après il a surement ses raisons qui nous échappent
En Éphésiens 5:1 nous pouvons lire:
"5 Devenez donc des imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés"

Pourquoi cela?

Car Dans les pages de la Bible, nous trouvons quantité de déclarations directes qui nous révèlent les qualités remarquables de Dieu. Lorsque vous lisez, prenez le temps de réfléchir à ces qualités, afin de définir ce qu’elles signifient réellement et l’importance qu’elles revêtent pour vous. Par exemple, “Dieu est amour”. (I Jean 4:8.) “Toutes ses voies sont justice.” (Deut. 32:4). ‘Chez lui se trouve la sagesse.’ (Job 12:13). Il est “vigoureux par la force”. (És. 40:26.) Quand vous méditez sur ces attributs de Dieu, votre admiration pour lui ne vous pousse-t-elle pas à le louer?
Quand vous déclarez que "que ses lois sont souvent à l'encontre de nos envies mais après il a surement ses raisons qui nous échappent",a quoi faites vous référence?
De plus n'oubliez pas que “le monde entier gît au pouvoir du méchant”, c’est-à-dire de Satan (I Jean 5:19) et que nous sommes imparfaits...

Posté : 03 janv. 2008 10:37
par leo
Sammy a écrit :Les témoins de jéhovah vont vous dire que Dieu est un être juste et bon. Qu'est-ce que la justice, qu'est-ce que la bonté ?

Dieu a massacré, fait massacrer ou laisser massacrer des populations entières. Sodome, l'Égypte, les enfants jusqu'à deux ans sous Hérode... Comment concevoir que Dieu soit réellement impartial ? Non, il ne l'est pas. Du moins, il ne l'a pas toujours été.

Il y a une réelle dichotomie entre le Dieu du Premier Testament et le Dieu du Deuxième Testament. Le Père que Jésus dévoile par l'incarnation est réellement amour. Il est tellement amour, ce Dieu, qu'il a offert son Fils. Il est tellement amour qu'il offre la possibilité aux hommes d'êtres sauvés, pardonnés, même s'ils ne choisissent pas la "vraie" religion.

D'ailleurs, cette "vraie" religion existe-t-elle ? Bien sûr que non, elle n'existe pas. Si elle existait, cela voudrait dire qu'aucun de ses membres ne se rendrait coupable d'exaction et qu'ils seraient tous respectables.

je vais vous dire franchement que j'etudie avec un TJ et je puis affirmer qu'ils sont bie nplus respectables que la plupart de nos concitoyens (les brebis gualleuse, il y en a partout vraie religion ou pas), i lest vrai que les hommes sont imparfaits ( çà tout le monde l'admet), je me pose certaines questions qui n'ont pas été éclaricies par l'intervention d'éloquence (qui pour le coup n'a pas été très éloquent mais flou), tout ce qui est écrit je le sais déjà. Sammy vous affirmer qu'il n'ya pas de vraie religion donc les hommes sont fichus d'avance? car Dieu met des principes pour être sauvé, dans ce cas il n'y a pas d'espoir. Pourquoi vivre?

Posté : 03 janv. 2008 10:51
par Eloquence
Les hommes sont fichus d'avance? Il n'y a pas de resuréction ni de paradis?
Alors je préfere mourir dés maintenant...

Leo ne vous laisser pas influencer par ces hommes,la bible nous met en garde contre eux!
Ne savez vous pas que nous sommes dans les derniers jours?

Et dans les derniers jours les hommes seront:seront amis d’eux-mêmes, amis de l’argent, présomptueux, hautains, blasphémateurs, désobéissants aux parents, ingrats, sans fidélité, sans affection naturelle, intraitables, calomniateurs, sans maîtrise de soi, cruels, sans amour du bien, traîtres, entêtés, gonflés d’orgueil, amis des plaisirs plutôt qu’amis de Dieu, ayant une forme de piété, mais trahissant sa puissance...

Nous avons été mis en garde,grace à la parole de Dieu,nous savons que dans les dernies jours,la majorité des hommes se détourneront de Jéhovah...

Pour ce qui est des principes de Dieu,ils sont essentiels afin de s'approcher de lui et de connaitre le véritable bonheur dés maintenant!
ils vous semblent pesant?Approchez vous encore de lui et alors vous verrez qu'ils sont bons,sages,et qu'ils vous amènent à la paix,au bonheur,et au futur paradis terrestre!

Posté : 03 janv. 2008 11:00
par leo
Je parlais du raisonnement de Sammy pour le fait qu'il ne sert à rie nde vivre sans espérance,moi j'en ai une donc je combats mes faiblesses tant bie nque mal et c'est oartant delà que je me disais que c'est dommage que justement toutes nos faiblesses sont bien souvent des plaisirs, l'inverse aurait été facile.Evidemment je ne m'arrêt pas là dessus, il faut dominer son coprs. Il est vrai que quand je lis que Die umet à mort certaines personnes dans l'ancie ntestament pour peu dechoses (à nos yeux) çà me fait froid dans le dos et je préfère l'imaginer plus doux que çà.

Posté : 03 janv. 2008 11:13
par Eloquence
leo a écrit :Je parlais du raisonnement de Sammy pour le fait qu'il ne sert à rie nde vivre sans espérance,moi j'en ai une donc je combats mes faiblesses tant bie nque mal et c'est oartant delà que je me disais que c'est dommage que justement toutes nos faiblesses sont bien souvent des plaisirs, l'inverse aurait été facile.Evidemment je ne m'arrêt pas là dessus, il faut dominer son coprs. Il est vrai que quand je lis que Die umet à mort certaines personnes dans l'ancie ntestament pour peu dechoses (à nos yeux) çà me fait froid dans le dos et je préfère l'imaginer plus doux que çà.
Ne t'inquiete pas,pour ce qui est de l'ancien testament,certaine lois peuvent nous paraitre dur mais n'oubliez pas que c'est un autre temps,de plus à cette époque Jéhovah utilisait sa force de manière visible et spectaculaire.Ainsi les hommes de la nation d'Israël avait vu la force de Jéhovah en action...
Si Salomon lisait nos lois,sans doute il bondirait d'incomprehension!
De toute facon nous ne sommes plus sous cette loi mais sous la loi du Christ.

Pour ce qui est des plaisirs,a quoi faites vous référence?

Posté : 03 janv. 2008 11:17
par leo
Eloquence a écrit : Ne t'inquiete pas,pour ce qui est de l'ancien testament,certaine lois peuvent nous paraitre dur mais n'oubliez pas que c'est un autre temps,de plus à cette époque Jéhovah utilisait sa force de manière visible et spectaculaire.Ainsi les hommes de la nation d'Israël avait vu la force de Jéhovah en action...
Si Salomon lisait nos lois,sans doute il bondirait d'incomprehension!
De toute facon nous ne sommes plus sous cette loi mais sous la loi du Christ.

Pour ce qui est des plaisirs,a quoi faites vous référence?
mon ancie nmode de vie qui n'est pas forcément très chrétien, en soit ce n'est pas le plus dur à abandonner, mais le fait de mettre de côtés certains amis est plus dur mais face à la glore de Dieu ce n'es tque pe ude choses

Posté : 03 janv. 2008 12:27
par Sammy
leo a écrit :Sammy vous affirmer qu'il n'ya pas de vraie religion donc les hommes sont fichus d'avance? car Dieu met des principes pour être sauvé, dans ce cas il n'y a pas d'espoir. Pourquoi vivre?
Il n'y a pas d'unique religion, il n'y a pas qu'une seule voie qui mène au Salut, voilà ce que j'ai voulu dire. Donc, au contraire, l'espoir est plus grand chez moi que chez celui qui estime que seule une voie mène à la vie éternelle.

Posté : 03 janv. 2008 14:13
par EMMA
Ne t'inquiete pas,pour ce qui est de l'ancien testament,certaine lois peuvent nous paraitre dur mais n'oubliez pas que c'est un autre temps,de plus à cette époque Jéhovah utilisait sa force de manière visible et spectaculaire.Ainsi les hommes de la nation d'Israël avait vu la force de Jéhovah en action...
Si Salomon lisait nos lois,sans doute il bondirait d'incomprehension!
De toute facon nous ne sommes plus sous cette loi mais sous la loi du Christ.

Pour ce qui est des plaisirs,a quoi faites vous référence?
Très originale la façon dont vous balayez d'un revers de main l'ancien testament, surtout quand on sait que le nouveau comtient de nombreux versets de l'ancien ....

On vous a vraiement appris l'art de faire tourner les gens....en bourrique .

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Posté : 03 janv. 2008 15:38
par Eloquence
EMMA a écrit : Très originale la façon dont vous balayez d'un revers de main l'ancien testament, surtout quand on sait que le nouveau comtient de nombreux versets de l'ancien ....

On vous a vraiement appris l'art de faire tourner les gens....en bourrique .



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Chère Emma respectait vous le shabbat? Ou bien réalisez vous des sacrifices à la gloire de Dieu?Nn....
Je ne renie en rien l'ancien testament,d'aillieurs Jésus lui mm en fait mention de nombreuses fois...
Cependant:
“ Je suis (...) sous la loi à l’égard de Christ. ” — 1 CORINTHIENS 9:21.

Posté : 03 janv. 2008 16:44
par medico
sammy nous fait un mélimelo entre SODOME HERODE et j'en passe .
DIEU avertit toujours avant d'agir.
preuve la discusion avec ABRAHAM concernant SODOME.
(Genèse 18:22-33) 22 Alors les hommes se détournèrent de là et se mirent en route pour Sodome, mais Jéhovah, lui, se tenait encore devant Abraham. 23 Alors Abraham s’avança et dit : “ Vas-tu réellement supprimer le juste avec le méchant ? 24 Supposons qu’il y ait cinquante justes au milieu de la ville. Vas-tu donc les supprimer et ne pardonneras-tu pas à ce lieu à cause des cinquante justes qui sont en son sein ? 25 Non, vraiment, on ne peut penser cela de toi, que tu agisses de cette manière : faire mourir le juste avec le méchant, de sorte qu’il en soit du juste comme du méchant. Non, vraiment, on ne peut penser cela de toi ! Est-ce que le Juge de toute la terre ne fera pas ce qui est juste ? ” 26 Alors Jéhovah dit : “ Si je trouve dans Sodome cinquante justes au milieu de la ville, oui je pardonnerai à tout le lieu à cause d’eux. ” 27 Mais Abraham répondit et dit : “ S’il te plaît, voici que je me suis décidé à parler à Jéhovah, alors que je suis poussière et cendre. 28 Supposons que des cinquante justes il en manque cinq. Pour les cinq, vas-tu ravager toute la ville ? ” À quoi il dit : “ Je ne la ravagerai pas si j’y trouve [les] quarante-cinq. ” 29 Mais il recommença à lui parler encore et dit : “ Supposons qu’il s’en trouve là quarante. ” Alors il dit : “ Je ne le ferai pas à cause des quarante. ” 30 Mais il reprit : “ S’il te plaît, que Jéhovah ne s’enflamme pas de colère, mais laisse-moi parler encore : Supposons qu’il s’en trouve là trente. ” Alors il dit : “ Je ne le ferai pas si j’en trouve là trente. ” 31 Mais il reprit : “ S’il te plaît, voici que je me suis décidé à parler à Jéhovah : Supposons qu’il s’en trouve là vingt. ” Alors il dit : “ Je ne la ravagerai pas à cause des vingt. ” 32 Finalement il dit : “ S’il te plaît, que Jéhovah ne s’enflamme pas de colère, mais laisse-moi parler encore cette fois : Supposons qu’il s’en trouve là dix. ” Alors il dit : “ Je ne la ravagerai pas à cause des dix. ” 33 Puis Jéhovah s’en alla, lorsqu’il eut achevé de parler à Abraham, et Abraham retourna en son lieu.
et concernant HERODE c'est lui qui a agit tout sel DIEU n'y est pour rien.