Ecrit le 11 oct. 2008 09:39
medico a écrit :donc en 1929 les répercutions étaent moindre sur les Français que maintenant .
Ah OK, vous voulez jouer sur les mots. Effectivement, la crise économique n'ayant vraiment atteint la France que vers 1931, les répercussions étaient moindres pour les Français en 1929 qu'elles ne le sont aujourd'hui où le monde est devenu un village planétaire et le temps immédiat.
Vous pensez donc que la réponse de myriam était si subtile que cela : attirer notre attention sur le fait qu'aujourd'hui, contrairement à 1929, les effets sont quasi instantanés ?
Mais qu'est-ce que cela change à moyen terme ? Croyez-vous que demain vont apparaître les dictateurs, qu'après-demain ils vont se déclarer la guerre et que la semaine prochaine, six millions de personnes seront tuées dans des camps de super-concentration ? Avec un peu de chance pour les futurs étudiants en Histoire (s'il en reste), la grande déflagration commencera et se terminera le 24 octobre prochain. Histoire de ne pas trop avoir à se farcir la cervelle de dates différentes (24 octobre 1929 : "Jeudi noir" ; 24 octobre 2008 : Harmaguédon).
A ce que je constate, les répercussions actuelles de la crise bancaire et économique dont on nous parle tous les jours dans les journaux n'a pour l'instant pas atteint le niveau catastrophique de celles de 1929.
Peut-être que la crise que nous traversons actuellement se révélera finalement pire que celle des années 1930, mais seul l'avenir nous le dira. Toute affirmation de la sorte aujourd'hui n'est que prédiction des "prophètes de malheur" qui constituent, eux pour sûr, l'une des répercussions les plus flagrantes des crises économiques.
Ne réponds pas à un homme stupide selon sa sottise, de peur que tu ne deviennes pareil à lui, toi aussi.
Réponds à un homme stupide selon sa sottise, de peur qu’il ne devienne un sage à ses yeux.
(Proverbes 26:4,5, TMN)