Gef. a écrit :
Bien sûr que Prophète pas égal à “Prophète”
Bien sûr que Ambassadeurs remplaçant Christ pas égal à “Ambassadeur remplaçant Christ”
Les guillemets changent le sens d'un mot. Un mot entre guillemets est un peu comme une allusion, une ressemblance....
Voici ce que dit mon BESCHERELLE : Quand on utilise un mot dans un sens qui n'est pas son sens habituel, lorsqu'on veut donner à un mot une nuance particulière, on le met entre guillemet.
Honêtement, je n'ai moi même pas très bien compris pourquoi le Collège Central écrit tous ces mots entre guillemets...Ca peut effectivement antrainer des incompréhensions.
voici ce que permet de parler nuancé :
c'est comme dire "+1 -1" :
si quelqu'un vous rétorque "vous avez dit -1", vous pouvez renvoyer "j'ai aussi dit +1"
si quelqu'un vous rétorque "vous avez dit +1", vous pouvez renvoyer "j'ai aussi dit -1"
si quelqu'un vous rétorque "mais, +1-1 = 0, en faite vous n'avez rien dit" vous pouvez renvoyer "non puisque j'ai dit +1 -1"
si quelqu'un vous rétorque "vous avez dit +1-1 " vous pouvez renvoyer " j'ai dit +1-1 certe mais +1-1=0 donc j'ai rien dit"
c'est toujours de la faute de l'autre, d'ailleur il n'a qu'une intension c'est dénigrer.
dans ce cas précis mettre le mot prophète entre guillemets reviens au même
en fonction de la personne qu'on à en face de soit le discours change (dicours interne, dicours externe)
c'est un discours à géometrie variable alors que la Vérité est invariable.
un exemple concret : prédictions pour l'année 1975 :
tour de garde 1/11 1976 :
Si quelqu’un a été déçu en ne suivant pas cette manière de penser, il devrait maintenant veiller particulièrement à redresser son point de vue, tout en reconnaissant que ce n’est pas la parole de Dieu qui a manqué son but ou qui l’a trompé et déçu, mais que son raisonnement était fondé sur de fausses conceptions
donc à qui la faute à celui qui a dit 1975 ou à celui qui y a cru.
La parution du livre La vie éternelle dans la liberté des fils de Dieu, qui disait qu’il serait approprié que le règne millénaire du Christ coïncide avec le septième millénaire de l’existence de l’homme, suscita une très grande espérance à propos de l’année 1975. À l’époque, et plus tard, des déclarations insistèrent bien sur le fait que ce n’était là qu’une possibilité. Malheureusement, à côté de ces explications qui incitaient à la prudence, d’autres déclarations laissaient entendre que la réalisation de notre espérance cette année-là était non seulement possible, mais probable. Il est regrettable que ces dernières déclarations aient, selon toute apparence, fait oublier celles qui incitaient à la prudence et aient ainsi contribué à entretenir chez certains des espérances déjà nées dans leur esprit.
Voyez vous ce n'est pas moi qui dit qu'il y a deux discours mais l'extrait fourni.
c'est dommage que je ne puisse pas correspondre avec vous en mp Gef car je sais que ce message s'auto détruira dans 30 seconde (lol sera censuré)