C'est un point de vue que je trouve assez surprenant.Silent Crow a écrit : Lorsque le sang est sain celui ci peut en effet servir de "médicament" pour celui qui en a besoin.
Le sang peut tomber malade, en effet. En de tel cas, comme dans celui de la leucémie, le traitement consiste à remplacer le sang malade par du sang sain et fonctionnel.
Tant que le sang n'est pas "malade", celui-ci peut aider ceux qui en ont besoin.
Et si le sang guérit alors que tous nous avons du sang qui coule dans notre corps, pourquoi tombons nous malade si c'est un soin, un médicament ?
Ma question était mal formulé, désolé.C'est une question un peu étrange. Le sang est un des nombreux éléments qui nous compose; celui-ci ne nous empêchera pas d'attraper la grippe, par exemple, qui n'a aucun rapport avec le sang. S'il tombe malade, le sang doit être remplacé par du sang en bonne santé, tu comprend ? C'est un peu comme un coeur; si celui-ci tombe malade, on le remplace par un autre coeur, sain et fonctionnel.
Mais alors le coeur est donc un médicament ?
L'homme en kit ?Ça revient à l'exemple du coeur. Celui-ci peut tomber malade mais un coeur en bon état peut "soigner" celui qui en a besoin. C'est le même principe pour le sang.
Oui, c'est cela. Le sang devient malade et ne suffit plus à la tâche, on doit donc le remplacer par un sang en bonne santé.
Mais quand même, un médicament peut produire des effets secondaires, mais il ne change pas sa nature.
Un médicament reconnu pour soigner, ne verra pas sa nature changer parce que il tombe malade, et devient alors un poison.
Par contre un organe ou un tissu conjonctif car c'est ainsi que le sang est définit peut devenir malade et a besoin alors de soin.
Mais le cancer du sang ne se guérit pas par le sang lui-même, sinon il suffirait de mettre du sang pour que toute personne atteinte de leucémie guérisse.
Mais ce n'est pas le cas,
Silent Crow, en disant que le sang est un médicament, tu dis aussi que c'est le droit inhérent à toute personne humaine donc de la personne malade de choisir sa médication, et pas de la lui imposer.
Si cela est vrai pour des gens atteints de cancer ou d'autres maladies, alors je ne comprends pas cette insistance sur les TJ, ce reproche qui leur est fait, à eux seuls, à propos du sang.
Je voudrais te dire que les avancées médicales ne se sont jamais faite sans tragédies, que les opérations à coeur ouvert, les pontages coronariens, les greffes de moelle, par exemple, aujourd'hui plus sûres ont leur nombre de cercueil, pareillement pour certaines médications modernes qui ont eu besoin de cobaye humain.
Les TJ connus pour leur position sur le sang, servent en quelque sorte de cobaye humain et amène des hommes emprunt d'altruisme à développer et à améliorer les techniques de substitutions du sang.
Pas que les TJ puisque toute personne qui refuse le sang pousse justement des médecins, des chercheurs dans le domaine médical, des gens animés du désirs de respecter la conscience de leur patient et de produire ainsi des soins de qualités adaptés à la volonté du patient.
De nouvelles techniques sont donc développer en raison de la prise de conscience du danger inhérent au sang, de la demande de gens dont un groupe confessionnel.
Demain quand vous profiterez de ces nouvelles techniques plus sûres, vous le devrez à ces remarquables chercheurs et médecins mais aussi à ces gens qui auront servi de cobaye pour l'avancée de la science médicale.
ps :je n'aime pas l'emploi du terme cobaye mais quand quelque chose de nouveau est expérimenté c'est plutôt l'usage d'employer ce mot non ?