Re: [le nom de Dieu] Jéhovah et sa signification
Posté : 03 oct. 2009 11:08
alors tout est bien dans le meilleurs des monde :DEchanges a écrit :Je pense que, pour ce qui est de la Septante, nous sommes arrivés aux mêmes conclusion.
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alors tout est bien dans le meilleurs des monde :DEchanges a écrit :Je pense que, pour ce qui est de la Septante, nous sommes arrivés aux mêmes conclusion.
échange ne participe plus a nos échanges !medico a écrit : alors tout est bien dans le meilleurs des monde :D
Encore un banni????? :shock:brigitte3 a écrit : échange ne participe plus a nos échanges !
mais il est trés bien explicite sur la disparition du nom de DIEU dans les évangiles.Nhoj a écrit :A présent, il est épuisé.
Medico va nous chercher ses vieux manuscrits ! :D
Je suis apparu.., littéralement: «Je me suis fait voir en Dieu Schaddaï.» Schaddaï, puissant, non tout-puissant, comme on traduit d’ordinaire. L’idée de la toute-puissance absolue ne se rattache pas au nom de Schaddaï, mais à celui de Jéhova; et, c’est précisément là l’une des notions nouvelles auxquelles doit maintenant s’élever Israël.
L’antithèse n’est pas ici entre le nom de Jéhova et celui d’Elohim, comme on se le figure souvent, mais entre les deux noms Jéhova et Schaddaï. Elohim est le sujet commun, le je, qui s’est révélé aux patriarches en qualité de Schaddaï et qui se révèle maintenant en qualité de Jéhova.
Le mode de la révélation de Dieu aux patriarches leur laissait surtout l’impression de sa puissance, et ce devait être aussi l’effet des promesses qu’il leur faisait: naissance d’Isaac, possession de Canaan, innombrable postérité, etc. Mais la puissance n’est qu’un des attributs de l’être divin. La révélation de Dieu pénètre maintenant jusqu’à son essence même, telle que l’exprime le nom de Jéhova (#Ex 3:14).
Il ne résulte point de ces mots que le nom même de Jéhova fût ignoré jusqu’à ce moment en Israël. Le nom de la mère de Moïse, Jokébed, qui signifie «gloire de Jéhova,» prouve le contraire. (#Ge 15:7; 28:13). Dieu lui-même se désigne par ce nom-là. Si ce nom eût été inconnu du peuple jusqu’à ce moment, il n’aurait présenté aucune idée claire à ceux qui l’entendaient de la bouche de Moïse. Aussi Dieu ne dit-il pas, en parlant des patriarchesá: «Je ne leur ai pas fait connaître mon nom d’Éternel; » mais littéralement: «En mon nom. c’est-à-dire en ma qualité d’Éternel, je ne me suis pas fait connaître à eux.» Le nom existait bien, mais la profondeur de son sens et les conséquences à y rattacher étaient inconnues du peuple. Il faut bien remarquer ici, outre l’opposition des deux noms Schaddaï et Jéhova, celle des deux verbes: «Je me suis fait voir,» et: «Je ne me suis pas fait connaître.» Dieu révélait aux patriarches d’une manière sensible sa puissance; mais son essence ne petit être contemplée par les sens; elle ne peut être discernée que par l’intelligence. C’est cette nouvelle intuition, d’un caractère supérieur, que Dieu communique maintenant au peuple comme l’objet suprême et permanent de sa foi et comme la base de toute l’histoire qui suivra. On ne peut pas dire que cette parole de Dieu fasse double emploi avec la révélation du ch. III.