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Posté : 26 mars 2008 20:04
par VAGNA
Puis, en 1919, un événement inattendu s’est produit. Nous lisons : “ Au beau milieu de la nuit il y a eu un cri : ‘ Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre. ’ Alors toutes ces vierges se sont levées et ont mis en ordre leurs lampes. ” (Matthieu 25:6, 7). Alors que la situation semblait des plus sombres, voilà que retentissait un appel à l’action ! En 1918, Jésus, “ le messager de l’alliance ”, était venu au temple spirituel de Jéhovah pour inspecter et purifier Sa congrégation (Malaki 3:1). À présent, les chrétiens oints devaient sortir à sa rencontre dans les cours terrestres de ce temple. Le temps était venu pour eux de ‘ répandre de la lumière ’. — Isaïe 60:1 ; Philippiens 2:14, 15.

Mais... attendez ! Un problème surgit pour certaines jeunes femmes de la parabole. Jésus poursuit : “ Les sottes ont dit aux avisées : ‘ Donnez-nous un peu de votre huile, parce que nos lampes sont sur le point de s’éteindre. ’ ” (Matthieu 25:8). Sans huile, les lampes n’éclaireraient pas. L’huile lampante nous fait penser à la Parole de Dieu, sa Parole de vérité, et à son esprit saint, qui permettent à ses véritables adorateurs d’être des porteurs de lumière (Psaume 119:130 ; Daniel 5:14). Avant 1919, les chrétiens oints avisés avaient, malgré leur faiblesse temporaire, cherché assidûment à discerner quelle était la volonté de Dieu à leur égard. C’est pourquoi, lorsque l’appel à répandre la lumière a retenti, ils étaient prêts. — 2 Timothée 4:2 ; Hébreux 10:24, 25.

Certains membres oints, toutefois, tout en désirant ardemment être avec l’Époux, n’étaient pas préparés à faire des sacrifices et des efforts. Quand donc est arrivé le temps de participer à la proclamation de la bonne nouvelle, ils n’étaient pas prêts (Matthieu 24:14). Ils sont allés jusqu’à tenter de freiner leurs compagnons zélés, leur demandant, en quelque sorte, de leur donner un peu de leur huile. Quelle avait été la réponse des vierges avisées de la parabole de Jésus ? “ Peut-être qu’il n’y en aura pas assez pour nous et pour vous. Allez plutôt chez ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous. ” (Matthieu 25:9). Pareillement, en 1919, les chrétiens oints fidèles ont refusé de faire quoi que ce soit qui amoindrisse leur capacité à porter la lumière. Ils ont donc été inspectés avec succès.

Posté : 26 mars 2008 20:05
par VAGNA
Jésus conclut : “ Tandis [que les vierges sottes] s’en allaient pour en acheter [de l’huile], l’époux est arrivé, et les vierges qui étaient prêtes sont entrées avec lui au festin de mariage ; et on a fermé la porte. Plus tard, les autres vierges sont venues aussi et ont dit : ‘ Monsieur, monsieur, ouvre-nous ! ’ En réponse il a dit : ‘ Je vous dis la vérité : Je ne vous connais pas. ’ ” (Matthieu 25:10-12). Effectivement, certains chrétiens oints n’étaient pas prêts pour l’arrivée de l’Époux. Ils n’ont donc pas passé l’inspection avec succès, et ils ont perdu la possibilité d’assister au festin de mariage dans le ciel. Quel dommage !
La parabole des talents

Après avoir expliqué de façon imagée ce qu’il faut entendre par être avisé, Jésus donne un exemple pour illustrer ce qu’est la fidélité. Il déclare : “ C’est [...] comme lorsqu’un homme, sur le point de partir en voyage à l’étranger, a appelé quelques-uns de ses esclaves et leur a confié ses biens. À l’un il a donné cinq talents, à un autre deux, à un autre encore un seul, à chacun selon ses capacités personnelles, et il est parti en voyage à l’étranger. ” (Matthieu 25:14, 15). L’homme de cette parabole, c’est Jésus lui-même, qui est “ parti en voyage à l’étranger ” lorsqu’il est monté au ciel en l’an 33. Mais avant son ascension, il a confié “ ses biens ” à ses disciples fidèles. Qu’est-ce que cela veut dire ?


Au cours de son ministère terrestre, Jésus avait commencé à préparer un grand champ d’activité en prêchant la bonne nouvelle du Royaume dans tout le pays d’Israël (Matthieu 9:35-38). Avant de ‘ partir en voyage à l’étranger ’, il a confié ce champ à ses disciples fidèles en leur disant : “ Allez donc et faites des disciples de gens d’entre toutes les nations, les baptisant au nom du Père et du Fils et de l’esprit saint, leur enseignant à observer tout ce que je vous ai commandé. ” (Matthieu 28:18-20). Par ces mots, Jésus autorisait ses “ esclaves ” à faire des affaires jusqu’à son retour, “ chacun selon ses capacités personnelles ”.

Posté : 26 mars 2008 20:06
par VAGNA
Cette expression indique que tous les chrétiens du Ier siècle n’étaient pas dans la même situation ni n’avaient les mêmes possibilités. Certains, comme Paul et Timothée, étaient en mesure d’accorder la plus grande partie de leur temps à l’œuvre de prédication et d’enseignement. D’autres chrétiens disposaient peut-être d’une liberté d’action très restreinte en raison de leur situation. Certains, par exemple, étaient esclaves, d’autres étaient de faible constitution ou âgés, ou avaient des responsabilités familiales. Dans la congrégation, quelques fonctions n’étaient évidemment pas accessibles à tous les disciples.

Les chrétiennes ointes et certains chrétiens oints n’enseignaient pas dans la congrégation (1 Corinthiens 14:34 ; 1 Timothée 3:1 ; Jacques 3:1). Cependant, quelle que soit leur situation, tous les disciples oints du Christ, hommes et femmes, étaient tenus de faire des affaires : ils devaient profiter au mieux de leurs possibilités et de leur situation pour accomplir le ministère chrétien. Les chrétiens de notre époque font de même.
Début de la période d’inspection
La parabole se poursuit : “ Longtemps après, le maître de ces esclaves est venu et a réglé ses comptes avec eux. ” (Matthieu 25:19). En 1914, vraiment “ longtemps après ” par rapport à 33, la présence de Jésus en tant que Roi a commencé. Trois ans et demi plus tard, en 1918, Jésus est venu au temple spirituel de Dieu et a accompli ces paroles de Pierre : “ C’est le temps fixé où le jugement commence par la maison de Dieu. ” (1 Pierre 4:17 ; Malaki 3:1). Le moment était venu de régler les comptes.

Qu’avaient fait les esclaves, les frères oints du Christ, avec les “ talents ” du Roi ? Depuis 33 jusqu’aux années précédant 1914, beaucoup avaient travaillé diligemment aux “ affaires ” de Jésus (Matthieu 25:16). Même pendant la Première Guerre mondiale, ils avaient manifesté un ardent désir de servir le Maître. À présent, il convenait de donner aux fidèles des possibilités supplémentaires de “ faire des affaires ”. Le temps de la fin du système de choses était venu. La bonne nouvelle devait être prêchée dans le monde entier. “ La moisson de la terre ” devait être moissonnée (Révélation 14:6, 7, 14-16). Il fallait trouver les derniers membres de la classe du blé et rassembler “ une grande foule ” d’autres brebis. — Révélation 7:9 ; Matthieu 13:24-30.

Posté : 26 mars 2008 20:09
par VAGNA
La moisson est une période joyeuse (Psaume 126:6). C’est donc fort justement qu’en 1919, lorsqu’il a confié davantage de responsabilités à ses fidèles frères oints, Jésus a déclaré : “ Tu as été fidèle sur peu de choses. Je t’établirai sur beaucoup de choses. Entre dans la joie de ton maître. ” (Matthieu 25:21, 23). D’autant que la joie du Maître, établi depuis peu Roi du Royaume de Dieu, dépasse l’imagination (Psaume 45:1, 2, 6, 7).

La classe de l’esclave fidèle prend part à cette joie en représentant le Roi et en augmentant ses intérêts sur la terre (2 Corinthiens 5:20). Son plaisir ressort de ces paroles prophétiques en Isaïe 61:10 : “ À coup sûr, j’exulterai en Jéhovah. Mon âme sera joyeuse en mon Dieu. Car il m’a revêtu des vêtements du salut. ”

Malheureusement, certains n’ont pas passé l’inspection avec succès. Nous lisons : “ Celui qui avait reçu un seul talent s’est avancé et a dit : ‘ Maître, je savais que tu es un homme exigeant, qui moissonnes là où tu n’as pas semé et ramasses là où tu n’as pas vanné. Alors, j’ai été pris de peur et je m’en suis allé cacher ton talent dans la terre. Voilà, tu as ce qui est à toi. ’ ” (Matthieu 25:24, 25). Pareillement, certains chrétiens oints ne se sont pas mis à “ faire des affaires ”.

Avant 1914, ils ne parlaient pas de leur espérance à autrui avec enthousiasme, et ils ne voulaient pas commencer à le faire en 1919. Comment Jésus a-t-il réagi à leur insolence ? Il leur a ôté tous leurs privilèges. Il les a ‘ jetés dans les ténèbres du dehors, où seraient leurs pleurs et leurs grincements de dents ’. — Matthieu 25:28, 30.
L’inspection se poursuit
Évidemment, lorsque Jésus a commencé son inspection en 1918, la majorité de ceux qui allaient devenir ses esclaves oints durant le temps de la fin ne servaient pas encore Jéhovah. Manqueraient-ils l’inspection ? Non. En 1918-1919, lorsque la classe de l’esclave fidèle et avisé a passé l’épreuve, l’inspection ne faisait que commencer. Individuellement, les chrétiens oints continuent d’être inspectés jusqu’à ce que le sceau qu’ils ont reçu soit rendu définitif (Révélation 7:1-3). Conscients de cela, ils sont déterminés à continuer de “ faire des affaires ” avec fidélité. Ils sont résolus à se montrer avisés, à conserver une réserve d’huile abondante pour faire briller leur lumière avec éclat. Ils savent que, lorsque l’un d’eux achève fidèlement sa vie sur la terre, Jésus le reçoit dans les demeures célestes. — Matthieu 24:13 ; Jean 14:2-4 ; 1 Corinthiens 15:50, 51.

La grande foule des autres brebis imite ses frères oints. Ses membres savent que leur connaissance des desseins de Dieu entraîne de lourdes responsabilités (Ézékiel 3:17-21). C’est pourquoi, avec l’aide de la Parole de Jéhovah et de son esprit saint, ils veillent eux aussi à ce que leur réserve d’huile reste abondante grâce à l’étude et aux réunions. Ils font aussi briller leur lumière en participant à l’œuvre de prédication et d’enseignement, ‘ faisant des affaires ’ aux côtés de leurs frères oints. Les chrétiens oints sont toutefois parfaitement conscients que c’est à eux qu’ont été remis les talents. Ils doivent rendre compte de la manière dont sont administrés les biens terrestres du Seigneur. Même s’ils sont peu nombreux, ils ne peuvent se décharger de leur responsabilité sur la grande foule. Gardant cela présent à l’esprit, l’esclave fidèle et avisé continue de donner l’exemple pour ce qui est de s’occuper des affaires du Roi, tout en étant reconnaissant envers les membres de la grande foule pour leur soutien dévoué. Ces derniers sont conscients de la responsabilité qui repose sur leurs frères oints, mais aussi du privilège qui est le leur de travailler sous leur direction.

Bien que ces deux paraboles éclairent des événements qui ont eu lieu en 1919 et aux alentours de cette date, dans le principe elles s’appliquent à tous les vrais chrétiens en ces derniers jours. C’est pourquoi, si l’exhortation donnée par Jésus à la fin de la parabole des dix vierges concerne essentiellement les chrétiens oints avant 1919, dans son principe elle s’applique aujourd’hui encore à chaque chrétien. Puissions-nous donc tous prendre à cœur ces paroles de Jésus : “ Veillez donc, parce que vous ne savez ni le jour ni l’heure. ” — Matthieu 25:13.

Posté : 27 mars 2008 05:10
par Zouzouspetals
Merci VAGNA

Pour tous ceux qui ne savent pas ce que psittacisme veut dire, vous nous en avez donné, par vos 7 posts successifs, une brillante interprétation !

Rien à redire ; tout y est : depuis les paraboles traitées comme des prophéties, à leur réalisation invisible (comme c'est pratique !).

Bien sûr, quelqu'un comme moi, qui aime s'attacher au texte et au contexte pour essayer de comprendre le message du Christ, pourra se sentir déçu par cette grande réécriture de l'histoire... et de l'Histoire.
Même si votre interprétation recèle quelques joyaux drôlatiques. J'ai particulièrement ri, pour ma part, à cette idée que "le “ mauvais esclave ” est sorti des rangs de l’esclave fidèle." Dans la mesure où la parabole de Matthieu 24:45-50 ne fait état que d'un seul esclave établi par le maître, à quoi correspond cette partie mauvaise issue de l'esclave "fidèle et avisé" ? A sa tête, à son coeur, à ses pieds ? :-) :-) :-)

Une dernière question me taraude : qu'ont bien pu comprendre les apôtres à ces paraboles de Jésus, si leur compréhension nécessitait 19 siècles d'Histoire ?
Un "esclave fidèle et avisé", qui aurait été établi en 33 de notre ère, et qui aurait su se maintenir éveillé au moins jusqu'en 1918-19, a certainement conservé des preuves de son histoire, quand bien même l'Histoire n'aurait pas gardé trace de son existence. Alors, comment les premiers chrétiens, ceux de la Renaissance ou bien votre fondateur moderne lisaient-ils cette parabole de Matthieu 24:45-50 ? Qui prenaient-ils, à leur époque, pour "l'esclave fidèle et avisé" ?

Posté : 27 mars 2008 10:24
par Exode
Zouzouspetals a écrit :Merci VAGNA

Pour tous ceux qui ne savent pas ce que psittacisme veut dire, vous nous en avez donné, par vos 7 posts successifs, une brillante interprétation !

Rien à redire ; tout y est : depuis les paraboles traitées comme des prophéties, à leur réalisation invisible (comme c'est pratique !).
Les taupes vivent sous terre :D :wink:

Merci Vagna pour ce magnifique exposé, il fallait effectivement remettre dans le contexte historique :D

Posté : 27 mars 2008 10:59
par VAGNA
Exode a écrit : Les taupes vivent sous terre :D :wink:

Merci Vagna pour ce magnifique exposé, il fallait effectivement remettre dans le contexte historique :D
Mais de rien et Image Exode!

Posté : 27 mars 2008 13:04
par Zouzouspetals
Exode a écrit : Les taupes vivent sous terre :D :wink:

Merci Vagna pour ce magnifique exposé, il fallait effectivement remettre dans le contexte historique :D
Décidément, on ne se refait pas ! Il n'y a en effet que des TJ pour considérer qu'un simple copier-coller d'une publication WT constitue un "magnifique exposé" ; quant au contexte historique, quand allez-vous donc comprendre qu'une parabole n'est pas, ne peut pas être, ne sera jamais, une prophétie ?

Posté : 27 mars 2008 13:08
par Exode
Zouzouspetals a écrit : quand allez-vous donc comprendre qu'une parabole n'est pas, ne peut pas être, ne sera jamais, une prophétie ?

La parabole de la graine de moutarde est prophétique :wink:

Posté : 27 mars 2008 13:31
par Zouzouspetals
Exode a écrit :
La parabole de la graine de moutarde est prophétique :wink:
Bien évidemment, mais où avais-je la tête ?!?

On lit en Marc 4:30-32 : "Il dit encore : “ À quoi comparerons-nous le royaume de Dieu, ou par quel exemple le représenterons-nous ? 31 [Il est] semblable à un grain de moutarde qui, lorsqu’on l’a semé sur la terre, était la plus petite de toutes les semences qui sont sur la terre — 32 mais lorsqu’il a été semé, il monte et devient plus grand que toutes les autres plantes potagères et produit de grandes branches, si bien que les oiseaux du ciel peuvent loger sous son ombre. ”

Cette prophétie s'est réalisée en 1917, lorsque les Etats-Unis, par leur entrée dans le premier conflit mondial, ont manifesté qu'ils étaient "plus grand que toutes les autres plantes potagères", comprenez que tous les gouvernements qui existaient alors ; ses grandes branches représentent les différents moyens (militaires, économiques, culturels) qui assurent son hégémonie encore aujourd'hui, et qui protègent, de par la Terre entière, les "oiseaux du ciel", à savoir les puissants de ce monde.
Incidemment, l'on peut remarquer que l'emblème des Etats-Unis est un aigle, le seigneur de tous les "oiseaux du ciel".
Quand on pense qu'à l'époque du Christ, les Etats-Unis n'étaient pas plus gros qu'un "grain de moutarde", l'on constate avec admiration que seul Dieu était capable, des siècles à l'avance, d'annoncer à ses serviteurs comment se réaliserait son grand dessein ! Bénis sommes-nous d'avoir prêté foi aux paraboles prophétiques ! Amen !

Posté : 27 mars 2008 13:52
par Zouzouspetals
Oups, une petite erreur s'est glissée dans mon post précédent, que vous aurez certainement rectifiée de vous-mêmes.
Il est évident que les Etats-Unis ne peuvent être le Royaume de Dieu dont parle la parabole-prophétie de Marc 4:30-32.
Il est bien sûr question, dans ce passage, de l'Eglise catholique, apostolique et romaine qui, encore au stade de "grain de moutarde" lorsque Marc a composé son évangile, est devenue aujourd'hui "plus grand(e) que toutes les autres plantes potagères", comprenez les différents cultes et religions de la planète. Assurèment, les églises et cathédrales qu'elle a bâties sur tous les continents, comme les missions qu'elle a dépêchées au cours des âges, constituent autant de "grandes branches" qui ont su abriter les "saints de Dieu", comparables aux "oiseaux du ciel".
Comme il est pertinent de comparer l'église à une "plante potagère", car toutes deux dispensent la nourriture dont nous avons besoin pour vivre ! Il est écrit en effet : "L’homme ne doit pas vivre de pain seul. ” (Luc 4:4) ; incidemment, l'on peut remarquer que le symbole de l'évangéliste Luc, selon la tradition, est un aigle, le roi de tous les "oiseaux du ciel".
Continuons donc à nous réfugier à l'ombre de cette "plante potagère" et n'oublions jamais que d'un "grain de moutarde" a jailli, comme annoncé, le royaume de Dieu !

Posté : 27 mars 2008 14:15
par Zouzouspetals
Décidément, j'ai des problèmes d'interprétation aujourd'hui.
Comme vous le savez tous, la parabole-prophétie de Marc 4:30-32 annonçait le triomphe de l'astrologie en notre 23e siècle.
Embryonnaire à l'époque du Christ, où les hommes en étaient réduits à observer les étoiles à l'oeil nu, l'astrologie est devenu aujourd'hui une science à l'avant-garde, "plus grand(e) que toutes les autres plantes potagères", comprenez les sciences de la nature.
Elle s'est subdivisée en de nombreuses "branches" (astrologie mathématique, linguistique astrologique, vierêvéedesastres, théâtre-dans-une-boule-de-cristal, astropsychanalyse, biologie planétaire....), qui abritent toutes des sommités de l'esprit humain, comparables aux "oiseaux du ciel".
Incidemment, l'on peut remarquer que le royaume astrologique mondial a placé le lustre à venir sous le signe du "grain de moutarde", bouclant ainsi la boucle d'une chronique astrale annoncée.
Gloire au Créateur des Cieux et des Etoiles, qui depuis l'aube de l'humanité jusqu'à nos nuits, a su préserver la clarté de l'astrologique connaissance !

Posté : 27 mars 2008 16:27
par question
ZZ, la prophéite vous a atteint, vous parlez sous inspiration.

Pour moi le grain de moutarde annoncait l'apparition du renouveau chrétien charismatique au 19eme siecle, qui devait s'étendre sur toute la terre pour lutter contre l'antechrist et defendre le vrai culte.
Ce mouvement des chrétiens zélés devait grandir, " le petit deviendra un millier ", au point de couvrir de son influence bienfaitrice et spirituelle les humains sincères...d'ailleurs la moutarde devait monter au nez des incroyants qui ne supporteraient la prédication de ces chrétiens sincères....
Cette oeuvre débuta à DIJON et s'etendit sur toute la terre.

Sacré apotre Marc, un vrai visionnaire.

En toute amitié et sympathie

Posté : 28 mars 2008 10:15
par Exode
question a écrit :ZZ, la prophéite vous a atteint, vous parlez sous inspiration.

Pour moi le grain de moutarde annoncait l'apparition du renouveau chrétien charismatique au 19eme siecle, qui devait s'étendre sur toute la terre pour lutter contre l'antechrist et defendre le vrai culte.
Ce mouvement des chrétiens zélés devait grandir, " le petit deviendra un millier ", au point de couvrir de son influence bienfaitrice et spirituelle les humains sincères...d'ailleurs la moutarde devait monter au nez des incroyants qui ne supporteraient la prédication de ces chrétiens sincères....
Cette oeuvre débuta à DIJON et s'etendit sur toute la terre.

Sacré apotre Marc, un vrai visionnaire.

En toute amitié et sympathie
Assisterai-je à un colloque de sages du monde ? :D, mais derrière vos facétieuses remarques vous êtes bien embêtés; et la parabole de Daniel sur la pierre jetée sans main ? :wink:

Posté : 28 mars 2008 10:50
par Zouzouspetals
Exode a écrit : Assisterai-je à un colloque de sages du monde ? :D, mais derrière vos facétieuses remarques vous êtes bien embêtés; et la parabole de Daniel sur la pierre jetée sans main ? :wink:
Exode, ce fil de discussion a pour thème la parabole de Matthieu 24:45-50. Libre à vous d'y lire l'annonce prophétique de votre organisation, quoique la plupart des lecteurs y voit surtout une exhortation, faite à chaque chrétien, de rester fidèlement éveillé pendant l'absence du Maître.

Vous nous trouvez embêtés, je vous trouve aveuglé ; à tout prendre, je préfère ne pas savoir répondre à tout (et à n'importe quoi) que d'être illusoirement persuadé de détenir la vérité toute entière.

Alors, je vous abandonne à vos certitudes... et n'en pense pas moi. ;-)