Vous êtes très mauvais en mathématiques. Le déluge a lieu en 2370 av JC suivant la chronologie biblique. vous nous parlez d'une montée des eaux antérieure de plusieurs siècles.Thierry a écrit :Quelques autres points dignes d'intérêt:
La découverte au large de la Turquie d’une structure construite par l’homme plaide en faveur d’une théorie fortement controversée selon laquelle le déluge connu par Noé aurait bel et bien existé. Des archéologues sous-marins ont trouvé la première preuve suggérant que les fonds de la mer Noire étaient habités il y a environs 7 500 ans avant d’être inondés par un raz-de-marée provenant de la Méditerranée. - Actualité du mois de mai 2001, à la page 74
Si vous nous sortez des revues éculées pour justifier votre doctrine théologique, on ne peut pas parler sérieusement. Vous devriez être un minimum au courant que les carotes de glaces prélevées aux poles (2001) et n'ont pas révélés la moindre trace d'un déluge universel et cela jusqu'a - 40 000 ans en comptant les différentes couches de dépots annuels !L'une des grandes destructions de vie se produisit à la fin de la dernière période glaciaire. D'après la datation des carottes prélevées au fond de la mer de Ross, la dernière période glaciaire ne commença qu'il y a 6000 ans. Des bouleversements gigantesques ont enfoui des fossiles bien au-dessous de matériaux terrestres énormément plus vieux qu'eux. Il y a des signes indiquant que de grandes étendues de la Terre furent inondées en quelques temps. (Revue Newsweek, 23 décembre 1963).
Un déluge global aurait dû laissé une couche de sédiements avec des changements importants en salinité et dans les ratios d'isotopes d'oxyges, preuves de fracture de la croute terrestre avec la présence d'une effervescence themale, un élément de preuve dans les bulles d'air emprisonnés et surement d'autres évidences. Pourquoi absolument rien de tel n'apparait ? Ce qui confirmait les prélèvements de 1991 ?
Johnsen, S. J., H. B. Clausen, W. Dansgaard, K. Fuhrer, N. Gundestrap, C. U. Hammer, P. Iversen, J. Jouzel, B. Stauffer, & J. P. Steffensen, 1992. Irregular glacial interstadials recorded in a new Greenland ice core. Nature 359: 311-313.
“Un septième environ de la surface des terres émergées de notre planète, s’étendant tout autour de l’océan Arctique, est perpétuellement gelé. (...)
S'il n'était pas gelé nous aurions un renversement complet du champ magnétique qui aurait pour effet de faire "basculer" notre globe avec des conséquences cataclysmiques. La vie est apparu sur la Terre car les conditions avec 2 poles glacés bien définis existaient. Donc, il faisait froid aux poles et vos mammouths ne se baignaient pas dans une eau à 26°C !
La liste des animaux qui ont été trouvés dans ces amas de boue glacée remplirait plusieurs pages. (...)
Cette liste n'existe pas ! Votre auteur fabule.
La plus grande énigme, cependant, est de savoir quand, pourquoi et comment toutes ces créatures diverses et absolument innombrables furent tuées, fracassées et gelées d’une manière si effroyable. (...)
Jules Vernes raconte mieux les histoires. Vous n'avez pas la moindre preuve de cela !
Pis encore, nombre de ces animaux ont été découverts parfaitement frais, intacts et sans blessures, soit debout, soit agenouillés. (...)
Complètement faux. Je connais votre source. L’auteur de l’article du Saturday Post du 16 janvier 1960 est Ivan SANDERSON. Cet illuminé n'a jamais cité la moindre de ses sources et sa théorie n'a jamais été reçue dans un seul journal scientifique. Je vous mets au défi de me trouver les sources vérifiables de ces affirmations grotesques !
Marrant, j'avais pas lu la fin que je vois le nom confirmer ce que je disais. D'ailleurs votre livre "La Bible - parole de Dieu ou des hommes" montre en photo un mammouth retrouvé soi-disant intact. C'est faux !Eu égard à nos conceptions antérieures, c’est là un tableau stupéfiant. Nous nous trouvons en présence d’immenses troupeaux de bêtes énormes et bien nourries, inadaptées aux climats froids, qui mangeaient paisiblement dans des pâturages ensoleillés, broutant délicatement la verdure dans une température ambiante qui ne nous aurait sans doute pas obligés à porter un manteau. Soudain, elles ont toutes péri, sans aucun signe visible de violence et avant même qu’elles aient eu le temps d’avaler leur dernière bouchée de nourriture. Puis elles ont été congelées si rapidement que chaque cellule de leur corps est parfaitement conservée.” - Saturday Evening Post, 16 janvier 1960, p. 39, 82, 83
Voici le rapport de l'expedition
O. F. Herz, Frozen Mammoth in Siberia, Smithsonian Institution Annual Report for 1903, p. 614, 1903.
En fait seulement les parties superficielles du mammouth Berezovka ont été préservées. La plupart des organes internes s’étaient déjà décomposés longtemps avant qu’on ne le découvre. Voici ce que nous rapporte le rapporteur de l’expédition.
.... les restes de nourriture dans l’estomac ont été excavés. Ce dernier était sérieusement délabré (...). Les parois de l’estomac (...) étaient sérieusement délabrées et déchirées (...) les autres organes étaient détruits (...). J’ai rassemblé des morceaux de sang (...). Au contact, le sang desséché ressemblait à du sable (...) avec une couleur jaunâtre, au contact on aurait dit comme de la craie (...). L’odeur n’était plus si intolérable comme pendant les deux premiers jours, probablement parce que nous nous étions accoutumés à celle-ci [p 620-622]
La chair du mastodonte était-elle comestible une fois dégelée. ?
La chair prise sous l’épaule, fibreuse et marbrée avec de la graisse, est rouge foncé et paraît aussi fraîche que de la viande bien ferme de bœuf ou de cheval. Elle paraissait si appétissante que nous nous sommes demandé pendant un certain temps si nous ne devions pas la goûter, mais personne n’essayât d’en avaler. Les chiens ont nettoyé la viande du mastodonte qui leur était jetée [p612]
On est bien loin de vos animaux gambadants dans des prairies ensoleillées et congelés directs (d'ailleurs ils ne devaient pas être noyés d'abord ?) et retrouvés intacts comme figés pour le musée Grévin !