Exode a écrit :
Alors le mauvais esclave par sa nature est en même temps un bon esclave.
Quand Jésus parle du bon esclave, il dit Quel est
Il pose une question : l'avez vous identifiez, l'avez-vous trouvé ?
.
Quand Jésus dit si ce mauvais esclave dit, en le déclarant mauvais il déclare en même temps qu'il n'établira pas ce mauvais esclave sur ses domestiques ni sur tous ces biens.
Parce que Jésus imite toujours son Père, Dieu qui seul est Bon.
Puisque c'est évident, il advient que l'esclave mauvais ne peut désigner l'esclave fidèle et avisé que le maître a établit
Aussi cet esclave mauvais n'est pas trouvé fidèle et avisé.
Dans cet parabole, Jésus explique qu'il existe un esclave mauvais qui représentera différentes émincences religieuses et qu'il existe un esclave fidèle et avisé, Jésus invite ainsi l'homme sincère à rechercher quel est cet esclave, où se trouve-t-il et ainsi à reconnaitre cet esclave mauvais.
Il est possible que Jésus ait pu avoir à l'esprit à son époque, le sanhédrin ou la prêtrise juive qui pouvaient représenter le mauvais esclave.
Les uns comme les autres se sont opposés à lui, n'ont pas fait les oeuvres d'Abraham, maltraitaient le peuple, ne donnaient pas la nourriture spirituelle pour les gens de la terre, ne progressaient pas dans la parole, agissait méchamment.
Mais cette parabole n'est pas restrictive et possède ainsi, en raison de Révélation qui parle de la femme glorieuse et de Babylone, un caractère visionnaire. :wink:
Mais oui, mais oui, Exode, vous avez totalement raison.
Le Maître, avant de partir pour un long voyage, a établi sur sa maisonnée un esclave en qui il avait toute confiance, puisque cet esclave était, par nature, "fidèle et avisé".
Par un processus proche de celui qui a transformé le Dr Jekyll en Mister Hyde, cet esclave "fidèle et avisé" établi par le Maître, s'est changé en un esclave "mauvais".
Comment est-ce possible, puisque, par nature, cet esclave était "fidèle et avisé" ?
A moins que "l'esclave fidèle et avisé", pas si avisé que cela pour le coup, ait permis à un mauvais esclave de s'introduire dans la maisonnée et de la corrompre.
Pourquoi alors, à son retour, le Maître récompense-t-il l'esclave "fidèle et avisé", si celui-ci ne s'est pas correctement acquitté de sa tâche ?
A moins que le Maître, avant son départ, outre d'établir un "esclave fidèle et avisé", n'ait aussi établi un contrepoids, en la personne de cet "esclave mauvais".
Pourquoi en ce cas, le Maître punit-il l'esclave "mauvais", puisque c'est lui-même qui l'a laissé s'établir dans sa maison ?
Vous parlez d'une explication claire ! J'aurais plutôt tendance à penser que votre théorie ne tient pas la route.
Alors si vous le voulez bien, revenons à des données fondamentales : combien y a-t-il d'esclaves dans la parabole de Matthieu 24:45-50 ?
Ne réponds pas à un homme stupide selon sa sottise, de peur que tu ne deviennes pareil à lui, toi aussi.
Réponds à un homme stupide selon sa sottise, de peur qu’il ne devienne un sage à ses yeux.
(Proverbes 26:4,5, TMN)