Si tu trouves la moindre phrase venant de moi et prétendant que ces "trois qualificatifs" viennent de toi, je te ferai toutes mes excuses. J'ai bien signalé que c'est EXODE qui a tenu ces propos. L'arroseur arrosé, tu connais ?Edom a écrit : Ai-je employé l'un des trois qualificatifs que vous mentionnez ? Nullement. Donc, je vous saurais gré de bien vouloir lire attentivement mes posts avant de faire ce genre de commentaire. Merci.
Et faire passer les intérêts d'autrui avant les siens, c'est normal, sain ? Qu'un individu prenne soin de son animal de compagnie en faisant passer les intérêts de ce dernier avant les siens ne me pose aucun problème, tout comme celui qui établit une frontière stricte entre ses animaux et sa famille, dans la mesure où il respecte ses aniaux.Je pense qu'il n'est pas mal en soit d'avoir de l'affection pour son animal de compagnie. Ce que je déplore, c'est l'idée que l'on puisse faire passer les intérêts de ce dernier avant ceux de notre entourage (humain, j'entends), voire même les nôtres.
Toi, tu es dans le jugement. Et tu juges sévèrement. Jésus t'a prévenu : la mesure avec laquelle tu juges servira de mesure pour ton jugement !
Tu ne peux te mettre dans la tête des gens et imaginer ce qu'un individu ressent pour son chat. J'ai une relation très fusionnelle avec mon chat, personnellement. Je suis marié et j'aime ma femme. J'aime ma mère, également. Mes frères, ma soeur... Puis-je prétendre aimer ma femme plus que ma mère ? L'amour n'est pas le même, voyons ! Et mes frères, les aime-je plus que mon chat ? L'amour n'est pas le même non plus.Outre mes convictions religieuses, avoir un point de vue équilibré sur la question (l'animal ne doit pas, lorsque l'on a le privilège d'avoir une famille, se substituer à ses parents) est me semble t-il faire preuve de bon sens, tout simplement.
Heureusement, tu disposes en excès la lucidité qui me fait défaut... :PVous êtes dans la généralité ; ce qui traduit, à mon humble avis, un manque de lucidité. Du reste, votre deuxième phrase fallacieuse, à elle seule, me conforte dans cette idée et discrédite la réflexion que vous menez (malmenez). Comme si, à travers cet article, nous avions méprisé les sentiments d'autrui ! Un conseil : posez vos idées et pesez vos mots.