Écoute, je viens de comprendre : tu ne comprends rien.Exode a écrit : Venez-vous de renvoyez vos enfants au rang des bêtes ?
Vous racontez vraiment n'importe quoi, et merci de tenir compte de ma signature, c'est écrit noir sur blanc !
Quand je dit relation d'humain à humain il s'agit bien de sentiments dans la relation avec son ou ses animaux de compagnies et aussi de la position au sein de la famille humaine, qui amènent des hommes, des femmes, des enfants et des personnes âgées à considérer plus humain la bête que l'homme, selon l'article mais aussi selon ce que toute personne avec un peu de bon sens peu observé.
Une question, dans quelle mesure la théorie de l'évolution des espèces qui réduit l'homme à un animal évolué (mais on se demande en quoi puisque régulièrement son Histoire démontre qu'il se conduit d'une manière pire que les animaux) a-t-elle introduit la confusion et amener l'homme à ne plus faire la distinction entre lui et l'animal ?
Dans cette mesure quelle a pu être l'influence sur des personnes qui voient dans leurs animaux de compagnie un être humain ?
L'évolution des espèces est, pour moi, à cataloguer au même niveau que les récits de création que compte la Bible : ce sont des hypothèses n'apportant aucune preuve intangible.
Tu as tout à fait le droit de considérer tes animaux comme des bêtes et de ne leur accorder qu'une forme d'attention seconde. Ce n'est pas mon cas : j'ai deux chats, j'ai accepté de les assumer et je leur apporte de l'amour. Je les considère même comme faisant partie intégrante de la famille puisque...ils vivent avec nous (ma femme et moi - ah, oui, je ne suis en manque de rien, et sûrement pas d'affection) ! Toi, tu les considères comme des esclaves (sans charge de travail, pourtant) et des êtres de seconde zone. C'est totalement ton droit. Et même si je ne comprends pas ce type de comportement, cela ne me choque pas.
En revanche, si mon comportement vis-à-vis de mes animaux te choque, c'est ton problème. Il n'y a pas de mal à faire du bien, alors, ce type de morale à la gomme me fait doucettement sourire. Et c'est là que je conclue en me disant : "il y en a qui n'ont vraiment aucun problème pour s'arrêter à des conneries pareilles..."
Bien cordialement !