Alternatives à la transfusion : une réalité

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medico

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Ecrit le 15 avr. 2009 05:21

Message par medico »

ton voeux est réalisé car les alternatives existes bel est bien.
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(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance.
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oat72

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Ecrit le 15 avr. 2009 05:26

Message par oat72 »

Pourquoi être aussi peut ouvert à la discussion medico ? Tu sais très que ces méthodes ne fonctionnent pas dans tous les cas. La preuve dans mon cas.
Partisan de Loi Gaïenne.

medico

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Ecrit le 15 avr. 2009 05:34

Message par medico »

ton cas n'est pas une preuve en sois. et puis c'est surement une invention pur est simple.

donc pour resumer les alternatives existent .
pas la peine de le nier .
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oat72

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Ecrit le 15 avr. 2009 06:02

Message par oat72 »

Pourquoi mentir, je n'ai rien à cacher, j'ai vécu des évènements difficiles dans ma vie peut-être plus que vous d'ailleurs, je n'en sais rien. Mais globalement je sais de quoi je parle car je l'ai vécu.

ET MEDICO LIS CE QUE J'ECRIS ! Je n'ai pas nié l'existence des substituts...c'est incroyable de devoir se répéter sans cesse. Je vais t'envoyer en MP pour que tu puisses le lire avant à chaque fois...j'ai dit pour la 10ème fois que OUI les substituts existent mais pas pour tous les cas ou même peu de cas.

Medico, puisque vous ne pouvez pas écouter, ce qui est gravement répréhensible chez les TJs voici quelques articles judiciaires car on ne peut pas discuter avec vous il vous faut des écrits, j'ai des 100aines d'articles comme ceux-là et j'ai même un livre qui attestent que la Watchtower a avoué que régulièrement certains de leurs fidèles n'avaient pas substituts pour leurs problèmes :

Affaire de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris - 2000
25 novembre 2000 : Une femme, Témoin de Jéhovah, a été hospitalisée en vue de recevoir des soins de chirurgie réparatrice, puis a été victime d'une hémorragie dont l'importance (perte en une heure de plus du tiers de la masse sanguine) a suscité une intervention d'urgence accompagnée d'une transfusion sanguine, alors que cette patiente avait exprimé par écrit son refus de toute thérapeutique faisant intervenir l'utilisation du sang sous quelque forme que ce soit. La patiente a alors demandé la condamnation de l'Assistance publique-hôpitaux de Paris, qui avait donné les soins, au paiement de dommages et intérêts en réparation du préjudice moral qu'elle estimait avoir subi. La Cour administrative d'appel de Paris, dans un arrêt du 9 juin 1998, a rejeté sa requête, car « ne saurait être qualifié de fautif le comportement de médecins qui, dans une situation d'urgence, lorsque le pronostic vital est en jeu, et en l'absence d'alternative thérapeutique, pratiquent les actes indispensables à la survie du patient et proportionnés à son état, fût-ce en pleine connaissance de la volonté préalablement exprimée par celui-ci de les refuser pour quelque motif que ce soit ».

Affaire de l'Assistance publique des Hôpitaux de Paris - 2001
29 octobre 2001 : Par une décision en date du 26 octobre 2001, le juge administratif suprême a statué sur la responsabilité de l'Assistance publique des Hôpitaux de Paris du fait de la transfusion sanguine d'un malade appartenant aux Témoins de Jéhovah et a refusé de reconnaître une quelconque faute de la part du centre hospitalier. M. X a été hospitalisé le 2 janvier 1991 dans un centre hospitalier de l'Ouest parisien en raison d'une insuffisance rénale aiguë, puis transféré dans un autre centre hospitalier en raison de l'aggravation de son état. Avant son transfert M. X avait déclaré qu'il refusait, en tant que Témoin de Jéhovah, que lui soient administrés des produits sanguins, même dans l'hypothèse où ce traitement constituerait le seul moyen de sauver sa vie. Il avait eu l'occasion de répéter à plusieurs reprises ce refus. Or, avant son décès, plusieurs transfusions sanguines ont été pratiquées à la suite de l'apparition d'une grave anémie. Son épouse, également Témoin de Jéhovah, a décidé de saisir la juridiction administrative afin de voir réparé le préjudice qui serait résulté pour son mari de la méconnaissance de la volonté qu'il a exprimé. Dans une première instance, le Tribunal administratif de Paris a rejeté le 5 avril 1995 la demande. Cette décision a été ensuite confirmée le 9 juin 1998 par un arrêt de la Cour administrative d'appel de Paris. Dans cet arrêt, la Cour précisait que « l'obligation faite au médecin de toujours respecter la volonté du malade en l'état de l'exprimer trouve sa limite dans l'obligation qu'à également le médecin conformément à la finalité même de son activité, de protéger la santé, c'est-à-dire, la vie elle-même de l'individu ». Cette position tendant de manière générale à faire prévaloir l'obligation de sauvegarder la vie sur le respect de la volonté du malade a été jugée contraire au droit par le Conseil d'État dans cette affaire. Néanmoins, souhaitant juger l'affaire au fond, le Conseil d'État a examiné lui-même le fond de la requête. Le juge administratif relève tout d'abord que « compte-tenu de la situation extrême dans laquelle M. X se trouvait, les médecins qui le soignaient ont choisi, dans le seul but de tenter de le sauver, d'accomplir un acte indispensable à sa survie et proportionnée à son état ». Dans ces conditions, et « quelle que fût par ailleurs leur obligation de respecter une volonté fondée sur des convictions religieuses », le centre hospitalier n'a commis aucune faute. Ainsi, le Conseil d'État admet la possibilité pour le médecin d'aller à l'encontre de la volonté de son patient (fondée sur des convictions religieuses). L'acte doit être indispensable à la survie du patient et être proportionné à son état. Au surplus, le juge administratif relève que les transfusions sanguines étaient imposées comme le seul traitement susceptible de sauvegarder la vie du malade. Ainsi, on ne pouvait reprocher en aucune sorte au centre hospitalier de n'avoir pas mis en œuvre d'autres traitements, potentiellement alternatifs. En outre, le Conseil d'État a repoussé les conclusions de la requérante tendant à considérer que les transfusions sanguines administrées constitueraient un traitement inhumain et dégradant. Cette décision est assez intéressante. En effet, le patient perd d'une certaine manière la possibilité d'exprimer son opinion et même de refuser telle ou telle opération. L'obligation de recueillir préalablement à toute intervention l'aval du patient ne tiendrait plus dès lors que la survie du malade serait en cause. Cette dernière deviendrait alors prioritaire.

Affaire du Centre hospitalier universitaire de Saint-Etienne - 2002
16 août 2002 : Mme Valérie Feuillatey, hospitalisée le 28 juillet 2002 au service des soins intensifs post-opératoires du centre hospitalier de Saint-Étienne, a fait savoir oralement puis confirmé par écrit qu'en raison des convictions qui sont les siennes comme Témoin de Jéhovah, elle refusait, quelles que soient les circonstances, l'administration de tout produit sanguin. Elle a subi dans le CHU une intervention de chirurgie orthopédique dans les suites d'un traumatisme, mais le saignement postopératoire s'est accompagné d'une anémie profonde malgré l'administration régulière de fer par voie intraveineuse, d'érythropoïétine recombinante humaine et l'arrêt de tout médicament pouvant altérer l'hémostase. Le 5 août 2002, alors que son taux d'hémoglobine était à 3,8 g/dl (vérifié à 3,7 sur l'autre bras), elle était tachycarde, hypotendue, polypnéique et en sueurs, mais maintenait son refus. Les médecins du centre hospitalier, estimant que le recours à une transfusion sanguine s'imposait pour sauvegarder la vie de la patiente, dont l'état évoluait dans des conditions qui présentaient un risque vital à court terme, ont donc décidé de transfuser la patiente de deux concentrés globulaires, alors qu'elle était encore consciente. Après obtention d'un taux d'hémoglobine à 6,2 g/dl et amélioration clinique, il n'y a pas eu d'autre transfusion. Mme Feuillatey et sa sœur ont alors saisi, le 7 août 2002, le juge des référés du tribunal administratif de Lyon en lui demandant, sur le fondement des dispositions de l'article L. 521-2 du code de justice administrative, d'enjoindre au centre hospitalier de ne procéder en aucun cas à l'administration forcée d'une transfusion sanguine sur la personne de l'intéressée. Par son ordonnance du 9 août 2002, le juge des référés a enjoint au centre hospitalier de s'abstenir de procéder à des transfusions sanguines sur la personne de Mme Valérie Feuillatey ; il a toutefois précisé que cette injonction cesserait de s'appliquer si la patiente « venait à se trouver dans une situation extrême mettant en jeu un pronostic vital ». Les requérantes ont ensuite fait appel de cette ordonnance en tant qu'elle comportait une telle réserve. Le juge des référés du Conseil d'État a quant à lui ordonné qu'avant de recourir, le cas échéant, à une transfusion, il incombait aux médecins du centre hospitalier universitaire de Saint-Étienne d'une part d'avoir tout mis en œuvre pour convaincre la patiente d'accepter les soins indispensables, d'autre part de s'assurer qu'un tel acte soit proportionné et indispensable à la survie de l'intéressée. Le surplus des conclusions de la requête de Mme Valérie Feuillatey et de Mme Isabelle Feuillatey, épouse Gatt a été rejeté.

Affaire de l'hôpital de Valenciennes - 2002
5 septembre 2002 : Le tribunal administratif de Lille interdit à un hôpital de transfuser à nouveau une patiente qui le refuse au nom de ses convictions. Saisi par la famille et son avocat, Me Franck Berton, le tribunal administratif, en attendant d'autres poursuites, a interdit à l'hôpital d'effectuer d'autres transfusions sanguines sur la jeune femme en se fondant sur la loi Kouchner de 2002. Celle-ci porte sur les droits des malades, l'inviolabilité du corps du patient et fait obligation aux médecins de convaincre le malade de la nécessité du traitement. Par ailleurs, il est désormais permis, « si une liberté fondamentale est menacée par un organisme public », que le juge administratif se prononce en référé. « Ma cliente avait signé une décharge à l'hôpital et je ne comprends pas pourquoi on n'a pas respecté sa volonté », explique Me Berton, qui estime en outre que sa cliente a dû subir les pressions des médecins auxquelles elle a résisté, « sauf lorsqu'on l'a endormie pour la transfuser ». Le jugement du tribunal administratif de Lille, le premier du genre depuis la promulgation de la loi Kouchner, crée une jurisprudence qui semble contredire celle du Conseil d'État qui faisait référence avant le nouveau texte puisqu'elle précisait qu'« on peut effectuer une transfusion si le pronostic vital est en jeu ». « Or, il y avait urgence », estime-t-on à l'hôpital de Valenciennes. Celui-ci a ainsi décidé de faire appel devant le Conseil d'État dans la mesure où le tribunal administratif a rendu sa décision « sans qu'il ait été procédé à une analyse médicale ». Venant d'une clinique privée, cette personne avait été admise au CHU à la suite de complications d'accouchement. Une transfusion sanguine était nécessaire, mais la jeune femme l'avait refusée. Pour respecter sa volonté, l'équipe de réanimation utilisa différentes alternatives thérapeutiques qui se révélèrent inefficaces. Devant l'aggravation de l'état de la patiente, médecins et responsables de l'établissement consultèrent différentes autorités, dont la justice, avant d'effectuer la transfusion, « unique chance pour elle d'être sauve ». « Nous nous trouvions devant une situation difficile, pris entre deux exigences : celui du respect des convictions de la patiente et notre mission de soigner au quotidien. Notre réflexion, celle d'une équipe, a été mûrie », précise le Dr Chagnon, qui ajoute simplement : « La jeune femme est maintenant rentrée chez elle avec son bébé ».

5 septembre 2002 : Les médecins du centre hospitalier de Valenciennes ont eu raison de transfuser une jeune femme de 26 ans, Témoin de Jéhovah, qui était entrée en service de réanimation suite à une hémorragie au cours d'un accouchement, affirme à Reuters Santé, le président de l'Ordre des médecins, Jean Langlois, qui invoque le devoir d'assistance à toute personne en péril. Alors qu'un jugement en référé du tribunal administratif de Lille fait injonction au centre hospitalier, au cas où la situation se reproduirait « de ne pas procéder à l'administration forcée de transfusion sanguine contre son gré et à son insu », le président de l'Ordre des médecins oppose pour sa part, le Code pénal au nouveau Code de santé publique invoqué par les juges. Certes, le nouveau Code de santé publique s'appuie sur la loi de 2002 sur les droits des malades. Cependant, explique à Reuters Santé, le Pr Langlois, « l'hôpital de Valenciennes et les médecins ont répondu à leur obligation de moyens après avoir essayé, semble-t-il de convaincre la patiente. Le moyen en l'occurrence c'était la transfusion. On ne peut demander à un médecin d'assister à une hémorragie qui va tuer sans réagir. On ne peut leur reprocher d'avoir transfusé ou alors la personne ne devait pas se faire soigner ». « La loi sur les droits des malades est une bonne loi, mais il y a des excès. Le choix du malade doit être respecté en cas de maladie chronique, mais il en va autrement quand la vie est en danger. Certains aspects de la loi ne sont pas acceptables ».

6 septembre 2002 : Le 25 août 2002, le tribunal administratif de Lille a donné droit à une femme Témoin de Jéhovah qui avait été transfusée contre son gré, cela en dépit de refus clairs et réitérés. Le centre hospitalier de Valenciennes était passé outre les demandes de sa patiente, en raison des importantes hémorragies dont elle souffrait suite à son accouchement. Allant contre la position du Conseil d'État exprimée dans son arrêt Senanayake du 26 octobre 2001, le juge administratif s'est appuyé sur les articles 9 et 11 de la loi de 2002 relative aux droits des malades, lesquels disposent que « si la volonté de la personne de refuser ou d'interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d'accepter les soins indispensables », mais qu'« aucun acte médical ni aucun autre traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne ». Le centre hospitalier a aussitôt décidé de faire appel de l'arrêt, en faisant expressément référence à l'arrêt Senanayake : « Compte tenu de la situation extrême dans laquelle la victime se trouvait, les médecins qui la soignaient ont choisi, dans le seul but de tenter de la sauver, d'accomplir un acte indispensable à sa survie et proportionné à son état ». Or, il apparaît pour les praticiens valenciennois que la gravité du péril encouru par la jeune femme n'a justement pas été prise en compte par le juge. Il appartiendra à la Cour administrative d'appel de Lille de se prononcer.

12 septembre 2002 : Le collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF, majoritaire) s'est dit alarmé par l'ordonnance du tribunal de Lille qui a donné raison à une femme Témoin de Jéhovah transfusée contre son gré à l'hôpital de Valenciennes. Refuser de transfuser cette patiente aurait relevé d'un acte d'« euthanasie passive » explique le Pr Carbonne, son secrétaire général.

Refus de soins et transfusion sanguine - État de droit après la loi du 4 mars 2002 : Le Conseil d'État a récemment statué dans le cadre d'une procédure d'urgence initiée par une patiente Témoin de Jéhovah qui, transfusée malgré son refus, souhaitait qu'il soit enjoint à l'hôpital de s'abstenir de toute nouvelle transfusion jusqu’à la fin de son hospitalisation. Le tribunal a fait droit à cette demande avec une réserve en cas de « situation extrême mettant en jeu un pronostic vital ». En confirmant cette décision du tribunal administratif de Lyon (l'injonction comme la réserve), le Conseil d'État a réaffirmé qu'aucune violation du droit au refus de soins ne pouvait être reprochée à un médecin qui, après avoir tout mis en œuvre pour convaincre le patient d'accepter les soins, avait accompli un « acte indispensable à sa survie et proportionné à son état ». Le Tribunal administratif de Lille, saisi d'une procédure identique, a enjoint à son tour au centre hospitalier de ne pratiquer aucune nouvelle transfusion sanguine sur une patiente transfusée contre son gré a. Le juge a certes enjoint « de ne pas procéder à l'administration forcée de transfusion sanguine à la victime contre son gré et à son insu », mais il n'y a aucune remise en cause de la jurisprudence du Conseil d'État. En effet, cette injonction est clairement motivée par l'absence, en l'espace, de danger immédiat pour la vie de la patiente. Ainsi, après l'entrée en vigueur de la loi de 2002, aucun changement n'est intervenu par rapport à l'état de la jurisprudence antérieure. Le patient est libre de refuser un soin et le médecin doit respecter ce choix. Toutefois, le médecin ne viole pas la liberté du malade si, après avoir tout mis en œuvre pour le convaincre, il accomplit un acte indispensable à sa survie et proportionné à son état. Le médecin ne pourrait pas non plus se voir reprocher un délit de non-assistance à personne en danger s'il se pliait au refus du patient après l'avoir informé des conséquences de son choix et avoir tenté de le convaincre.

Affaire de l'hôpital de Honfleur, jugement 2006
20 avril 2006 : Mme P., admise le 4 avril 1985 au centre hospitalier de Honfleur en vue d’accoucher de jumeaux, présente une hémorragie de la délivrance qui met en jeu le pronostic vital. Elle reçoit une transfusion sanguine et subit une hystérectomie d’hémostase puis est transférée dans un autre hôpital et reçoit d’autres transfusions. Quelques années plus tard, elle porte plainte et le 5 mai 2004, le tribunal administratif de Caen rejette sa demande tendant à condamner le centre hospitalier à réparer les conséquences dommageable de l’hystérectomie et le « préjudice moral causé par l’administration de produits sanguins », alors qu’en tant que Témoin de Jéhovah, elle avait déclaré la refuser. Elle demande 120 000 euros en réparation des préjudices engendrés par les conditions de son accouchement. En appel, la cour administrative de Caen estime que quelques soient les erreurs et négligence qu’elle impute à l’équipe médicale sans en établir la réalité, il résulte que les transfusions sanguines étaient indispensables à sa survie. Cette requête a été rejetée le 20 avril 2006.

Affaire de la Clinique de Marignane
23 octobre 1995 : Mme Ghislaine B. a été victime d’une hémorragie lors de l'accouchement de son troisième enfant. Il aurait fallu la transfuser rapidement, cependant elle a fait connaître son refus de toute utilisation de produits sanguins. Sollicitée au moment où la situation devient critique, sa famille s’est opposée à cette intervention. Faute de transfusion sanguine, l’état de santé de la patiente s'est détérioré rapidement si bien que l’équipe hospitalière a contacté le Procureur de la République en urgence. Il a donné son accord pour cette transfusion sanguine, finalement réalisée mais trop tardivement. Pour sauver sa patiente, le Dr A. a tenté une dernière opération (une hystérectomie), mais en vain. L’expertise a révélé que Mme B était arrivée « à un état de défaillance cardio-vasculaire avec arrêts circulatoires répétés ne permettant pas d’effectuer une hystérectomie d’hémostase ». Elle est décédée peu après. Le médecin a été mis doublement en cause par la famille : il lui est reproché d’être responsable d’une faute médicale ayant joué un rôle essentiel dans le décès de Mme B et d’avoir failli à son obligation d’information.

21 décembre 2006 : Dans son arrêt rendu ce jour-là, la cour d'appel d'Aix-en-Provence écarte la responsabilité civile du médecin. Aucune faute de sa part n’a effectivement pu être relevée par les juges.

N'oubliez pas que votre discours entretien un contact avec la mort.
Partisan de Loi Gaïenne.

Nhoj

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Ecrit le 15 avr. 2009 07:05

Message par Nhoj »

Tes sources ? :-)
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medico

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Ecrit le 15 avr. 2009 07:11

Message par medico »

Publié par Tribune de Genève (http://www.tdg.ch)



TRAGÉDIE | L'enfant, âgé de quatre ans, est décédé le 21 février dernier.

Un autre patient, adulte, a également fait une forte réaction suite à un transfert de

plaquettes du même échantillon.



ERIC BUDRY | 04.03.2009 | 13:00

Selon les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), il n'est pas possible pour l'instant

de déterminer la cause exacte de ce terrible accident. Le professeur Pierre Dayer,

directeur médical, a toutefois affirmé que le donneur, qui a été identifié, ne portait

aucune responsabilité et que son sang avait été mis hors de cause. Le problème se

situerait par conséquent dans la chaîne des différents traitements que subit ensuite le

sang afin de réduire au maximum les risques d'infections ou les problèmes

immunologiques. C'est ce que l'enquête devra déterminer.

Selon Bernard Gruson, directeur général des HUG, deux patients ont fait une forte

réaction, le 18 février, suite à une transfusion de plaquettes sanguines provenant du

même échantillon. Le patient adulte est aujourd'hui hors de danger après un passage

aux soins intensifs. La réaction de l'enfant de quatre ans a malheureusement été

beaucoup plus violente. Il est décédé le 21 février. Ses obsèques se sont déroulées

lundi.

En l'état, les HUG refusent de parler d'erreur médicale et s'affirment incapables de dire

s'il y a eu une erreur humaine. C'est en accord avec les parents de l'enfant que la

direction des HUG a décidé d'informer la presse sur ce drame. Par souci de

transparence, mais également pour apaiser les peurs que pourrait susciter un tel

événement. "C'est un cas isolé, nous avons procédé à toutes les vérifications, assure

le professeur Dayer. Il n'y a aucun risque épidémiologique. Tant les donneurs que les
receveurs ne courent aucun danger."
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Ecrit le 15 avr. 2009 07:21

Message par oat72 »

Nhoj a écrit :Tes sources ? :-)
Ordonnance de référé du Conseil d'État français, 14 mars 2001 + Ordonnance de référé du Conseil d'État français, 11 août 2002 + Ordonnance de référé du Conseil d'État français, 18 septembre 2004 + Ordonnance de référé du Conseil d'État français, 16 janvier 2004 + Ordonnance de référé du Conseil d'État français, 04 Mars 2002

Il y a des élèments très intéressants dans les jugements...
Partisan de Loi Gaïenne.

medico

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Ecrit le 15 avr. 2009 07:27

Message par medico »

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Ecrit le 15 avr. 2009 07:31

Message par oat72 »

medico"]Publié par Tribune de Genève (http://www.tdg.ch)
hors sujet et attaque sur les tj en plus non respect de la charte
la modération.
Partisan de Loi Gaïenne.

oat72

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Ecrit le 15 avr. 2009 07:42

Message par oat72 »

Intéressant mais ca n'apporte que des choses déjà vu. Ils indiquent dans ce texte des faits déjà connu et reconnu selon lesquels en cas d'urgence des médecins ont préféré transfuser le ou la patiente pour sauver sa vie. Il n'y a rien d'exceptionnelle.

Je suis surpris que vous vous basiez sur les dires et les écrits d'un simple écrivain qui n'est plus médecins depuis 1990...lol ! De plus, c'est un médecin qui a écrit un bouquin sur la transsexualité et il prône le libre changement de sexualité. Qu'elle défense dîtes moi ! IMPRESSIONANT !

Bon je vais maintenant vous mettre des études réalisé par des médecins et chercheurs reconnus. Dans ces études vous verrez qu'il y a des risques dans les substituts qui existent. Et que au-delà de ceux qui existent il y a plus de chance qu'ils provoquent la mort.
Partisan de Loi Gaïenne.

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Ecrit le 15 avr. 2009 11:59

Message par Nhoj »

Sur notre DVD des dizaines de médecins affirment qu'on peut soigner sans transfuser. Aussi, des commentaires et témoignages très intéressant se trouvent sur les pages de ce sujet, mais sans doute ne vous intéressent-t-ils pas.
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Silent Crow

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Ecrit le 15 avr. 2009 12:46

Message par Silent Crow »

On tourne en rond de façon ridicule. Nous n'avons pas encore fabriqué un produit qui possède toutes les vertus du sang et qui puisse remplacer celui-ci dans toutes les circonstances. Comme certains oublient vite je vais reciter ici le cas des quintuplées canadiennes (dont les parents étaient TJ) qui en 2006, à leur naissance, avaient besoin de sang pour survivre. L'état a été dans l'obligation de poursuivre les parents et d'ammener l'affaire devant les tribunaux pour que les enfants puissent reçevoir les soins adéquats et ainsi survivre. Croyez-moi, s'ils avaient pu les soigner autrement, ils l'auraient fait.

Un jour sans doute trouvera-t'on un produit ou une méthode qui nous permetra de nous passer définitivement du sang, mais ce jour n'est pas encore arriver; il faut voir la réalité en face...
Tu ne laisseras point vivre la magicienne (Exode 22.18)

Nhoj

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Ecrit le 15 avr. 2009 12:56

Message par Nhoj »

Tu l'as dit que sa tourne en rond.
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oat72

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Ecrit le 16 avr. 2009 03:40

Message par oat72 »

Oui on tourne en rond et là est le problème.

Voici une étude sur les substituts qui existent aujourd'hui :

Les substituts sanguins déçoivent car ils augmentent la mortalité de 30 %
20 MAI 2008 | Dr Muriel Gevrey

Bethesda, MD, E-U — Une étude de Charles Natanson (Critical care medicine departement, Bethesda, Maryland) publiée par le Journal of the American Medical Association conclut que des substituts sanguins étudiés au Canada et aux Etats-Unis augmentent la mortalité de 30 % et multiplient par 2,7 le risque d'infarctus. Au-delà des résultats décevants, c'est (encore) les dysfonctionnements, le manque de réactivité et de transparence de la FDA qui sont pointés du doigt.

Depuis plus de vingt ans, les chercheurs s'échinent à découvrir un substitut sanguin qui pourrait être utilisé en période de guerre ou en région éloignée. Ce produit pourrait être conservé longtemps sans réfrigération, éliminerait le risque infectieux et pourrait être administré sans tenir compte des compatibilités du groupe sanguin. Dans leur introduction, les auteurs signalent que tous les produits partagent les « mêmes mécanismes d'action et la même toxicité apparente ». L'hémoglobine qui n'est pas contenue dans une membrane est rapidement consommatrice de monoxyde d'azote (NO) qui provoque une vasoconstriction, une réduction du flux sanguin et des circonstances favorisant l'organisation du thrombus. Récemment, ce mécanisme a été confirmé dans les syndromes hémolytiques au cours desquels l'hémoglobine est libérée dans la circulation.

Pr Audran :
« L'hémoglobine, même hautement purifiée, est trop toxique pour être utilisée en tant que substitut sanguin. Qu'elle soit d'origine humaine, bovine ou génétique, elle doit être modifiée. Trois types de modifications ont été testées : liaisons intramoléculaires, polymérisation, liaison à des macromolécules » note le Pr Michel Audran (Laboratoire de biophysique et bio analyse, Faculté de pharmacie, Montpellier) pour heartwire. « Même si on polymérise, la vasoconstriction est toujours présente. On essaie maintenant de combiner l'hémoglobine avec du polyéthylène glycol par pégylation, des essais cliniques sont en phase I et II en Europe. » L'équipe de Natanson a conduit une revue systématique de tous les essais publiés ou non concernant les substituts sanguins à base d'hémoglobine modifiée. Après un difficile rassemblement des données, les auteurs ont réussi à disposer de 16 études cliniques sur cinq substituts sanguins : HemAssist, Hemopure, PolyHeme, Hemolink et Hemospan.

Signes de toxicité dès 2000 :
Les résultats de la méta-analyse montrent que les patients ayant reçu ces substituts sanguins ont un risque de décès augmenté de 30 % par rapport aux patients du groupe contrôle. Le risque d'infarctus du myocarde est multiplié par presque trois (2,71). Surtout, le circuit d'approbation de la FDA est sévèrement critiqué car, selon les chercheurs, il existait des signes avant-coureurs de toxicité dès 2000. Ce cas d'école souligne à la fois l'inefficacité scientifique et les risques réels sur les patients de ne pas rapporter les données rapidement.
« Si l'agence avait placé un moratoire, les décès et les infarctus ultérieurs auraient pu être évités » écrivent les auteurs. Les résultats des sept essais d'HemAssist finis en 1998 ont été rendus publics entre 1999 et 2003. Les données d'Hemopure disponibles en 2000 ont attendu d'être divulgués en 2006 jusqu'à ce qu'un organisme poursuive la FDA. Idem pour les industriels de PolyHeme qui n'ont communiqué qu'après avoir été épinglés par un journal grand public, six ans après la fin des essais. Les chercheurs estiment que les gouvernements devraient contraindre les compagnies pharmaceutiques à publier plus rapidement les résultats de leurs études cliniques. Néanmoins, cinq études continuent et une est planifiée malgré ces résultats. Seule l'Afrique du Sud a approuvé officiellement l'utilisation d'un substitut sanguin. Dans leurs conclusions, les auteurs écrivent : « Ce cas d'école souligne à la fois l'inefficacité scientifique et les risques réels sur les patients de ne pas rapporter les données rapidement ».
Pas d'effet sur les capacités physiques donc pas de mesurage possible pour le dopage. « J'ai fait un essai clinique avec Hemopure sur des volontaires sains. J'ai eu des effets secondaires relativement minimes. 100 % des volontaires avaient des maux d'estomac et des ballonnements probablement par captation du NO par le substitut sanguin » précise le Pr Michel Audran. « Mais il s'agissait d'une étude pour mettre au point un test de dépistage de dopage » précise le spécialiste. Car, comme tout transporteur d'oxygène, ces produits suscitent la convoitise des sportifs en mal de performance. Sur ce point, la cause est entendue : « Nous n'avons vu aucune différence en performance entre les sportifs qui recevaient de l'Hemopure et ceux sous solution de remplissage » indique le Pr Audran.

Concernant l'étude de Natanson, il ajoute « je n'ai pas le recul suffisant pour juger de la méta-analyse mais il me semble difficile de l'interpréter car il n'y avait pas d'uniformité des sujets inclus dans ces études. Je ne suis pas surpris car HemAssist a été arrêté en phase III avec davantage de décès dans ce groupe que celui traité par des solutés de remplissage. Où en est-on aujourd'hui ? « Actuellement, le sang des transfusions est de plus en plus sûr dans les pays occidentaux. Donc, l'intérêt pour les substituts sanguins a baissé sauf pour l'armée. Il faut noter que ce sont des produits qui restent très chers donc peu accessibles aux pays en développement. » Dans un article récent, une équipe nancéenne explique : « Un grand progrès dans le développement des substituts sanguins a été réalisé au cours des dernières années, mais aucun d'entre eux n'est mis sur le marché ni aux Etats-Unis, ni au Canada, ni même en Europe. Les différentes formes d'hémoglobine développées jusqu'à ce jour n'ont pas fait la preuve clinique de leur capacité à remplacer les globules rouges.» Les conclusions préfigurent les résultats de la méta-analyse : « elles se heurtent aux difficultés de compréhension des effets secondaires d'ordre hémodynamique et oxydatif. » Reste que l'avancement du développement clinique risque d'être plus difficile compte tenu de ce profil de tolérance.

Un effet homogène
Les éditorialistes saluent le travail de l'équipe de Natanson pour leur volonté d'exhaustivité puisque chaque essai n'a pas la puissance suffisante pour détecter les effets négatifs. « L'effet délétère est homogène quel que soit le type d'hémoglobine de synthèse (cross-linked, polymérisée ou conjuguée), ce qui suggère que les données sont robustes » écrivent les éditorialistes. Ils posent la question du déroulement de ces essais : y avait-il des indices précliniques évocateurs d'un effet délétère des substituts sanguins ? La réponse est « oui » mais les différentes étapes de régulation n'ont pas fait leur travail. Ils soulignent l'insuffisance de prise en compte des effets indésirables potentiels qui étaient connus dans les études précliniques.

Références
1. Natanson C, Kern S, Lurie P et coll. Cell-free haemoglobin based blood substitutes and risk of myocardial infarction and death: a meta-analysis. JAMA 2008;299(19): Publié en ligne :
doi:10.1001/jama.299.19.jrv80007.
2. Smani Y, Labrude P, Vigneron C. Les transporteurs d'oxygène à base d'hémoglobine et les tentatives de substituer les globules rouges. Transfus Clin Biol. 2007;14(5):464-73.
3. Fergusson D A, McIntyre L. the future of clinical trials evaluating blood substitute. JAMA 2008;299 Publié en ligne : doi:10.1001/jama.299.19.jed80027.
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oat72

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Ecrit le 16 avr. 2009 03:44

Message par oat72 »

Mise à jour le lundi 28 avril 2008

Substituts sanguins - Risques mal calculés

Une étude publiée par le Journal de l'association médicale américaine (JAMA) conclut que des essais cliniques sur des substituts sanguins menés au Canada et aux États-Unis ont mis en danger la santé, voire la vie, de nombreux patients. Une analyse de 16 études cliniques sur des substituts sanguins montre que les patients ayant reçu ce sang artificiel avaient 30 % de plus de chances de mourir que ceux du groupe de contrôle.

Aussi, le risque d'infarctus du myocarde était plus que triplé. Les chercheurs estiment que les gouvernements devraient contraindre les compagnies pharmaceutiques à publier plus rapidement les résultats de leurs études cliniques. Les organismes de réglementation, Santé Canada et la Food and Drug Administration (FDA) américaine, devraient avoir la possibilité de sévir, selon les chercheurs. Ces pratiques sont contraires à l'éthique, a soutenu le Dr Joel Lexchin, de l'Université York à Toronto, en entrevue à la Presse canadienne. La FDA tient deux jours d'audiences sur les substituts sanguins à compter de mardi, à Bethesda dans le Maryland. Pour sa part, le ministère canadien de la Santé a indiqué qu'il travaillait à élaborer un système réglementaire pour répertorier les études cliniques et encadrer la divulgation des résultats.

Des chercheurs travaillent depuis de nombreuses années pour découvrir un substitut sanguin qui pourrait être utilisé en zone de guerre ou en région éloignée. Le produit idéal pourrait être conservé longtemps, ne nécessiterait pas de réfrigération, éliminerait le risque de transmission du VIH ou d'autres infections et pourrait être administré à n'importe qui, peu importe son groupe sanguin. Les produits essayés jusqu'à maintenant, outre le fait qu'ils n'avaient pas toutes les propriétés du sang, ont montré des risques. Seule l'Afrique du Sud a approuvé officiellement l'utilisation d'un substitut sanguin.

Référence :
1 - L'étude sur les substituts sanguins du Journal of the American Medical Association (en anglais),
2 - L'avenir des études sur les substituts sanguins, Journal of the American Medical Association (en anglais).
Partisan de Loi Gaïenne.

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