Ecrit le 05 févr. 2013 04:15
salimou a écrit :
- en voilà un belle définition de medico ?
- Heureseument Dieu le Père enseigne l'inverse de toi :
Mais il a dit au Fils: Ton trône, ô Dieu est éternel; Le sceptre de ton règne est un sceptre d'équité;
Tu as aimé la justice, et tu as haï l'iniquité; C'est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t'a oint D'une huile de joie au-dessus de tes égaux. (Hébreux 1:8-9)
πρὸς δὲ τὸν υἱόν, Ὁ θρόνος σου ὁ θεὸς εἰς τὸν αἰῶνα τοῦ αἰῶνος, καὶ ἡ ῥάβδος τῆς εὐθύτητος ῥάβδος τῆς βασιλείας αὐτοῦ·
ἠγάπησας δικαιοσύνην καὶ ἐμίσησας ἀνομίαν· διὰ τοῦτο ἔχρισεν σε ὁ θεὸς ὁ θεός σου ἔλαιον ἀγαλλιάσεως παρὰ τοὺς μετόχους σου.
- tout comme Thomas et Esaïe.
- mais je suppose que tu le savais très bien, le but de la manoeuvre était de dévier du fait que la Watch Tower a menti.
- " medico " tu as le droit de croire que la watch Tower est sainte et qu'elle dit uniquement la vérité divine, simplement les faits historiques prouvent l'inverse.
- je suis honnête et sans t'insulter, comment fais-tu pour discerner une vrai parole sortant de la Watch Tower d'une fausse parole sortant de cette même source ?
- puisque vous reconnaissez qu'elle a menti, comment choisis-tu ce qui est vrai de ce qui est faux ?
- quel peut être le critère de sélection à part le dépassement d'un date qui prouve son invalidité (comme tous les enseignements rejettés aujourd'hui).
Un peu long Désolé, mais il faut ca pour Salimou !
"Christ Jésus, le Fils de Dieu."
L’Évangile selon Jean met particulièrement l’accent sur l’existence préhumaine de Jésus, “ la Parole ”, et explique que “ la Parole devint chair et résida parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle d’un fils unique-engendré et qui vient d’un père ”. (Jn 1:1-3, 14.) Les déclarations de Jésus montrent bien que sa filiation par rapport à Dieu n’a pas commencé seulement avec sa naissance en tant qu’humain, par exemple celle-ci : “ Les choses que j’ai vues chez mon Père, moi je les dis ” (Jn 8:38, 42 ; voir aussi Jn 17:5, 24), et d’autres déclarations explicites faites par ses apôtres sous l’inspiration divine. — Rm 8:3 ; Ga 4:4 ; 1Jn 4:9-11, 14.
“ Unique-engendré. ”
Certains commentateurs récusent la traduction du mot grec monogénês par l’expression “ unique-engendré ”. Ils font remarquer que la deuxième partie du mot (génês) ne vient pas de génnaô (engendrer), mais de génos (genre), et que par conséquent ce terme désigne ‘ l’unique représentant d’une catégorie ou d’un genre ’. Ainsi, de nombreuses versions présentent Jésus comme le “ Fils unique ” (BFC [Jn 1:14 ; 3:16, 18] ; Jé ; Sg) plutôt que comme le “ fils unique-engendré ” de Dieu (Jn 1:14 ; 3:16, 18 ; 1Jn 4:9). Cependant, bien que l’un et l’autre composant ne contiennent pas le sens verbal de naître, l’utilisation qui en est faite emporte manifestement l’idée d’origine ou de naissance, car le mot grec génos signifie “ souche, parenté, progéniture, race ”. Il est rendu par “ race ” en 1 Pierre 2:9. La Vulgate de Jérôme rend monogénês par unigenitus, ce qui signifie “ unique-engendré ” ou “ unique ”. De nombreux lexicographes reconnaissent que ce mot a un lien avec la naissance ou l’origine.
Dans son ouvrage (Greek and English Lexicon of the New Testament, 1885, p. 471), Edward Robinson donne de monogénês la définition suivante : “ Unique-né, unique-engendré, c.-à-d. enfant unique. ” W. Hickie (dans Greek-English Lexicon to the New Testament, 1956, p. 123) lui prête aussi le sens d’“ unique-engendré ”. Et un dictionnaire explique : “ μονο- [mono-] ne se rapporte pas à la source, mais à la nature de la provenance. μονογενής [monogénês] signifie donc : unique-engendré, seul engendré, c.-à.-d. sans frère ni sœur, ce qu’on peut rendre [...] simplement par : unique. Il désigne le seul enfant qu’ont des parents, principalement par rapport à eux. [...] Mais il peut également être utilisé dans un sens plus large, sans référence à l’extraction, si bien qu’il veut dire : unique, incomparable, sans pareil. ” — Theologisches Wörterbuch zum Neuen Testament, par G. Kittel, vol. IV, 1942, p. 745, 746.
Voici ce que dit le même ouvrage (p. 747-749) au sujet de l’utilisation de ce terme dans les Écritures grecques chrétiennes, ou “ Nouveau Testament ” : “ Il a le sens de : unique. [...] En [Jean] 3, 16. 18 ; 1 J 4, 9 ; [Jean] 1, 18, la position de Jésus n’est pas simplement comparée à celle d’un fils unique par rapport à son père ; elle est celle du fils unique par rapport à son Père. [...] En J 1, 14. 18 ; 3, 16. 18 ; 1 J 4, 9, en aucun cas μονογενής ne désigne seulement le caractère unique ou incomparable de Jésus ; il est à tous ces endroits expressément assimilé au Fils [...] ou considéré comme tel [Jean] 1, 14. Dans Jn, μονογενής se rapporte à l’extraction de Jésus. Il est μονογενής en qualité d’unique. ”
Compte tenu de ces déclarations et du témoignage clair des Écritures elles-mêmes, il n’y a aucune raison de critiquer les traductions qui montrent que Jésus n’est pas simplement le Fils unique, ou incomparable, de Dieu, mais qu’il est aussi son “ Fils unique-engendré ”, donc issu de Dieu au sens de produit par Dieu. C’est ce que confirment les écrits apostoliques qui présentent ce Fils comme “ le premier-né de toute création ” et comme “ Celui qui est né [forme de génnaô] de Dieu ” (Col 1:15 ; 1Jn 5:18) ; par ailleurs, Jésus lui-même déclare être “ le commencement de la création de Dieu ”. — Ré 3:14.
Jésus est le “ premier-né ” de Dieu (Col 1:15) parce qu’il est la première création de Dieu, appelée “ la Parole ” dans son existence préhumaine (Jn 1:1). Le mot “ commencement ” en Jean 1:1 ne peut désigner le “ commencement ” de Dieu le Créateur puisqu’Il est éternel et n’a pas eu de commencement (Ps 90:2). Il s’agit donc du commencement de la création, lorsque la Parole, son Fils premier-né, a été produite par Dieu. Le terme “ commencement ” est utilisé dans d’autres textes de la même façon pour parler du début d’une période, d’une carrière ou d’une façon de se conduire, tels le “ commencement ” de la vie chrétienne de ceux à qui Jean adressa sa première lettre (1Jn 2:7 ; 3:11), le “ commencement ” du comportement rebelle de Satan (1Jn 3:8), ou le “ commencement ” de la déviation de Judas par rapport à la justice (Jn 6:64 ; voir JUDAS No 4 [Il se corrompt]). Jésus est le “ Fils unique-engendré ” (Jn 3:16) en ce sens qu’il est le seul des fils de Dieu, humains ou spirituels, à avoir été créé par Dieu seul, car tous les autres ont été créés par l’intermédiaire ou ‘ par le moyen ’ de ce Fils premier-né. — Col 1:16, 17 "
Pas besoin de chercher la complication...